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Le forum du Guide - Critiques de livres : Littérature : Lectures communes du Forum |
Sujet: Légendes d'automne de Jim Harrison | |
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Auteur | Message | ||
Poulpette
Déclamateur Depuis le: 30 juillet 2009 Status actuel: Inactif Messages: 322 |
Envoyé : 08 septembre 2013 à 09:26 | ||
Bonjour !
Dans l'ensemble j'ai bien aimé les 3 nouvelles mais je rejoins Denis pour certaines longueurs .Par moment surtout dans dans la 1ère on a l'impression qu'on ne va pas arrivé à la fin ! C'est vrai que la vengeance est un plat qui se mange froid !!! |
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 08 septembre 2013 à 10:33 | ||
Avez-vous trouvé comme moi que c'était une écriture très masculine, tant par le style que par les thèmes abordés?
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denis76
Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872 |
Envoyé : 08 septembre 2013 à 10:39 | ||
Oui Grominou, une écriture masculine, que j'appelle "rugueuse", cow boy, dans le premier, un style plus "les incorruptibles" dans le second, et plus mixte dans le troisième, à mon avis !
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Muffin
Déclamateur Depuis le: 14 août 2009 Status actuel: Inactif Messages: 2043 |
Envoyé : 14 septembre 2013 à 04:24 | ||
JE L'AI RECU !!!!
Bon, je m'y étais préparée psychologiquement : il ne m'ont pas mis la bonne édition, j'ai droit à Brad Pitt. L'édition sans l'affiche du film a l'air très vieille et clairement plus éditée. Du coup j'ai payé plus cher pour rien En plus les cinq premières pages étaient pliées en deux, bravo ! Bon après tout ça me fait un livre à couvrir, ça faisait longtemps... Je le commence ce soiiiir ! |
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Crédit photo http://500px.com/robmutch
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 14 septembre 2013 à 10:23 | ||
Youpi!!
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Úrsula Iguarán
Orateur Depuis le: 29 août 2013
Messages: 158 |
Envoyé : 15 septembre 2013 à 02:28 | ||
Livre commandé!
Je devrai le recevoir juste quand j'aurai fini ma lecture actuelle. Hâte d'échanger avec vous! |
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"Chloé avait les lèvres rouges, les cheveux bruns, l'air heureux et sa robe n'y était pour rien"
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denis76
Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872 |
Envoyé : 15 septembre 2013 à 04:02 | ||
Cool !
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 15 septembre 2013 à 11:54 | ||
Super, Ursula! J'espère que tu auras moins de déboires que Muffin pour cette commande!
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* Ça *
Déclamateur Modérateur Depuis le: 19 novembre 2004 Status actuel: Inactif Messages: 7625 |
Envoyé : 21 septembre 2013 à 09:37 | ||
Je vous mets ma critique sur le recueil de nouvelles. Comme je suis trop pressée dans le temps, je reviendrai dans le courant de la journée pour lire vos commentaires et critiques que je n'ai pas voulu lire auparavant afin de n'être pas influencée. Ça me démange d'aller voir, mais je suis vraiment trop juste dans le temps. CRITIQUE Légendes d’automne c’est en fait trois longues nouvelles où l’amour et la violence se côtoient, se heurtent et se confondent. Trois histoires différentes, uniques et pourtant porteuses des mêmes sentiments exacerbés de colère, de doute, de violence, d’amour profond, de filiation et d’attachement, via une plume forgée aux odeurs de cette Amérique de cowboys et d’indiens. Nouvelle 1 : Une Vengeance Jim Harrison est pour moi un homme de peu de mots qui possède le génie de créer une ambiance unique dans ces récits. Jim Harrison, c’est un créateur d’atmosphère. En quelques phrases l’auteur nous imprègnent d’une ambiance propre au désert du Mexique et de ces paysages de Far-West. p. 18-19 « Dans la fraîcheur relative du soir, un paysan mexicain et sa fille s’avancèrent le long de la route, s’arrêtant parfois pour arracher aux broussailles un morceau de bois mort à brûler. (…) un vieux mâle abrité à l’ombre d’un rocher et possédé d’une intense curiosité. Il ne détachait pas son regard de l’homme (…) Il avait le ventre plein et le spectacle de cet être en train de mourir lui apparaissait comme la chose la plus fascinante qu’il ait observée depuis longtemps. (…) Elle se mit à fredonner un air et son chant dispersa les vautours assemblés une centaine de mètres plus loin. De toute manière, ils étaient sur le point de s’envoler afin d’aller rejoindre leurs aires avant que la nuit ne tombe complètement. Le vieux coyote se tassa un peu dans l’ombre de son rocher. » WAOU! La lectrice en moi s’est totalement sentie happée par l’histoire et impliquée comme spectatrice dans chaque partie du récit, et je dois dire que ça ne m’est pas arrivé souvent d’avoir cet état d’âme. Trop souvent je n’adhère pas instantanément à une histoire. J’ai besoin d’une période d’adaptation, de plusieurs pages pour véritablement m’intéresser au livre que je lis, mais ce ne fut pas le cas avec « Légendes d’automne ». Conquise immédiatement. J’avais presque l’impression d’être par la magie de la plume de l’auteur, survolant les différentes scènes à vol d’oiseau ou profitant d’un tour d’horizon tel que l’on voit dans ces aperçus panoramiques virtuels de 360°. p.47 « Éloignons-nous maintenant des amants, au repos. Perchons-nous sur le manteau de la cheminée, tels des griffons au regard de pierre (…) Une histoire déjà vue ou lue maintes fois. Un décor superbe, mais déjà vu également. Le fond du récit assez commun d’un triangle amoureux et de la vengeance du conjoint trahi, est ici amené à un niveau supérieur et porté à bout de bras par la forme du récit et par la force de l’auteur, d’imprégner et de faire régner une atmosphère électrique où tout sentiment même extrême semble possible. Lire les mots de Jim Harrison c’est voir ce coyote tapis derrière le rocher, c’est vouloir chasser ces oiseaux nécrophages qui tournoient dans le ciel, c’est sentir la chaleur étouffante du désert et c’est être fasciné par ces personnages plus grands que nature et ce, malgré tout ce transport de sombres sentiments. 4,5 étoiles Nouvelle 2 : L’Homme qui abandonna son nom Un dénommé Nordstrom âgé de 43 ans à qui tout avait réussi à ce jour prend soudainement conscience de la vie, de son entourage et de son cheminement lorsqu'un caillou vient s’immiscer dans sa vie réglée au quart de tour ; sa femme demande le divorce. p. 153 « Sa propre vie lui parut soudain d’un formalisme écœurant. Qui connaissait-il? Que connaissait-il? Qui aimait-il? (…) il comprit confusément que la vie n’était rien d’autre qu’une accumulation d’actes quotidiens et sans cesse répétés. Crise de la quarantaine peut-être?! Toujours-est-il que notre homme si bien rôdé décide de tout balancer par-dessus bord ; le bébé avec l’eau du bain. Une remise en question présentée pas à pas au lecteur. Nous voilà donc bien loin d’un récit d’action. Des états d’âmes, des questionnements et quelques mouvements du personnage qui par moment semble se laisser porter par les répercussions des gestes d’autrui pour décider comment enligner sa vie. En même temps tout ça ne manque pas d’humour. Une histoire plus moderne, un brin moins intense que les deux autres, dans un décor plus urbain et un ton pince-sans-rire. Tout de même assez loin de mon registre habituel, j’ai eu un peu de peine à m’intéresser réellement à l’histoire au tout début. Toutefois, suite à une première du genre très noire, cette nouvelle malgré quelques petits assombrissements est à prendre comme un répit avant d’entamer le dernier tour du recueil. 3 étoiles Nouvelle 3 : Légendes d’automne Et puis voilà, une troisième légende et pas la moindre. «Vers la fin du mois d’octobre 1914, trois frères …» Trois frères, trois personnalités totalement différentes, malgré tout liés par une affection réelle. L’aîné Alfred : le sérieux, le calme et pondéré Alfred, un peu fade et sans couleur ; le cadet Tristan : l’impétueux, l’indomptable, le cheval fou, le guerrier vengeur ; et finalement le benjamin Samuel : le tendre, le curieux, le poète. Trois frères s’en vont à la guerre et seul deux en reviendront ramenant dans leur sillage, colère, haine, envie et vengeance. Il serait réducteur de dire que cette troisième légende a pour thème la vengeance. Elle porte en fait beaucoup plus que ça. Bien sûr c’est une nouvelle noire, et peut-être plus que les deux autres. Plus riche en émotion, si la vengeance en est l’élément de départ, la plume de l’auteur amène cette histoire de famille dans une dimension beaucoup plus vaste où tout est plus grand que nature. Peut-être à l’image de ces grandes plaines à l’est du Montana ou de ces vallées au pied des imposantes Rocheuses. 4,5 étoiles Un choc littéraire que cette rencontre avec la plume de Jim Harrison. Un mot captivant. Un réel coup de cœur pour le style de cet écrivain passionnant. Chose certaine, je me dois de lire d’autres œuvres de sa bibliographie. Moyenne de 4 étoiles sur 5 pour ce recueil. |
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*** Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux _ J.Renard
*** Les gens qui ne rient jamais ne sont pas sérieux _ Alphonse Allais |
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denis76
Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872 |
Envoyé : 21 septembre 2013 à 13:48 | ||
Belle critique, comme d'hab, Martine....Pourquoi les critiques ne sont pas sur le même fil pour qu'on voie les avis des uns et des autres ?
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* Ça *
Déclamateur Modérateur Depuis le: 19 novembre 2004 Status actuel: Inactif Messages: 7625 |
Envoyé : 21 septembre 2013 à 15:17 | ||
Les critiques sont sur le même fil, mais pas sur la même page. Les messages s'affichent dans l'ordre chronologique d'entrée et je ne peut rien changer à cet ordre. La seule façon pour que les critiques se suivent, il ne faudrait pas commenter avant que tout le monde est posé sa critique. |
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*** Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux _ J.Renard
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 21 septembre 2013 à 19:25 | ||
Comme toi *ÇA* j'ai été frappée par la scène de début, avec les vautours, le coyote, la chaleur accablante... En fait dès la première phrase j'ai été happée (je n'ai plus mon exemplaire sinon je la citerais).
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denis76
Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872 |
Envoyé : 22 septembre 2013 à 01:13 | ||
Désolé, Martine ! Où ai je la tête ???
Grominou, oui, j'aime bien cette scène d'ambiance qui me rappelle les intros et conclusions du "Bon, la Brute et le Truand"... |
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 22 septembre 2013 à 17:52 | ||
Oui, Denis c'est vrai que ça fait très western, on imaginerait bien une musique d'Ennio Morricone là-dessus!
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denis76
Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872 |
Envoyé : 23 septembre 2013 à 06:13 | ||
oui, oui
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Úrsula Iguarán
Orateur Depuis le: 29 août 2013
Messages: 158 |
Envoyé : 27 septembre 2013 à 12:51 | ||
Ca y est, j’ai terminé ma première lecture commune du forum
Je vous passe ma « muffinade » pour obtenir le livre (commandé en vf, mais n’arrivant pas je suis allée l’acheter en vo en magasin, et j’ai hérité d’une édition avec cet horreur de Brad en couverture !) Alors je suis très partagée sur ce livre…j’avais commencé à préparer une critique quand j’ai fini les deux premières nouvelles. Et puis j’ai lu la troisième… et là mon avis n’était plus le même ! Je vais essayer de vous exposer mon point de vue de manière claire. Déjà, je ne vais pas réécrire ce que vous avez tous déjà dit et que je partage sur la forme : belle écriture, personnages soignés, belle atmosphère, décors magnifiquement plantés… Harrison a une belle plume, c’est certain. En ce qui concerne les 2 première nouvelles (Revenge/Vengence et The man who gave up his name / L’homme qui a changé de nom), j’ai trouvé qu’il y avait un décalage. Un décalage entre le fond et la forme, entre son univers très masculin (le far west, les personnages principaux qui sont tous des hommes) et la manière de raconter les histoires qui est très féminine (que de descriptions et d’introspection et si peu d’action !). En fait, il y a un décalage entre ce à quoi on s’attend ou ce à quoi je m’attends (une histoire dure, de ‘mecs’) et ce qu’on lit vraiment (une réflexion sur le sens de sa vie) En plus de cela, comme le disait denis76, j’ai trouvé les histoires un peu « décousues »,, je me suis souvent perdue ( ou ennuyée ?) au cours des récits (obligée de reprendre ma lecture parce que je me rendais compte que je ne savais plus ce que je lisais…) ! Donc sur cette première partie, mon avis n’était pas très positif, je n’ai pas été emballée par ces nouvelles. Et puis j’ai lu la troisième nouvelle (Legends of the fall/Légendes d’automne ) et mon avis s’est transformé ! Dans Légendes d’automne, on a droit à un tout autre récit, très passionné, romantique (dans le sens littéraire), avec des personnages forts, une fratrie au destin assez tragique. Dans cette histoire, on découvre une famille, une époque, on voyage au travers du globe avec l’un des frères… pour finir de manière assez noire. J’ai été emportée par l’histoire que j’ai dévoré deux fois plus vite que les autres. Le niveau de cette dernière nouvelle bien au-dessus des deux premières, qui font « fades » à côté. Je suis un peu embêtée pour donner une note, tellement j’ai trouvé une différence de qualité entre les nouvelles… mais je tiens quand même à donner une note globale puisqu’il s’agit d’un recueil : Donc je donne 3,5 parce que je reconnais les qualités de l’objet mais ce n’est que mon goût personnel qui n’adhère pas. |
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"Chloé avait les lèvres rouges, les cheveux bruns, l'air heureux et sa robe n'y était pour rien"
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 27 septembre 2013 à 14:15 | ||
C'est drôle comme nos perceptions peuvent être très différentes! Pour moi, les descriptions, l'introspection restaient très masculines, avec seulement de temps en temps une touche que je trouvais plus féminine, dans l'attention aux détails de la vie quotidienne, une certaine poésie.
Mais je suis d'accord avec toi, la troisième nouvelle est nettement une coche au-dessus des deux autres! |
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* Ça *
Déclamateur Modérateur Depuis le: 19 novembre 2004 Status actuel: Inactif Messages: 7625 |
Envoyé : 27 septembre 2013 à 16:24 | ||
Et bien moi, je suis en partie d'accord avec Grominou. Par contre pour l'attention aux détails, bien que peut-être plus fréquent chez les auteurs féminins, je ne pense pas qu'elles en aient l'exclusivité. Tout respire la masculinité pour moi dans ces trois récits, et là où je diffère totalement d'avis avec Ursula__ à mon avis c'est la dernière nouvelle que je pourrais dire ayant une touche féminine. Pour avoir lu que du noir pratiquement depuis presque dix ans. Le noir me fait vibrer. J'adore ce genre littéraire. Et pour reprendre ton expression, par la forme et par le fond, à mon sens, on peut difficilement faire plus masculin que ça. Il est vrai que la dernière est particulièrement bonne, mais je l'ai trouvé un peu longue et peut-être même un peu redondante. Mais celle qui m'a réellement accrochée et fait vibrer, c'est la première. Une nouvelle noire et sombre comme j'aime. Et que dire des scènes dans le désert où j'en oubliais pratiquement de respirer. |
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*** Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux _ J.Renard
*** Les gens qui ne rient jamais ne sont pas sérieux _ Alphonse Allais |
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Úrsula Iguarán
Orateur Depuis le: 29 août 2013
Messages: 158 |
Envoyé : 28 septembre 2013 à 02:40 | ||
Ah mais c'est étrange....
En fait je ne dois pas avoir la même définition de "roman noir" que vous. Pour moi un roman noir c'est une histoire dure, glauque, où il n'y a pas de morale, pas de justice, où tous les personnages sont des pourris et où la fin est tragique. Ici, dans la première nouvelle on a droit à un triangle amoureux, dans la deuxième un quarantenaire ou cinquantenaire en pleine crise existentielle. C'est pas bien méchant ni très noir! La troisième nouvelle se présente un peu plus dans le tragique et la fatalité. Venger son amour et s'interroger sur son existence, ça reste quand même des sujets plus "féminins" que de buter toute une famille d’innocents seulement parce que le fils t'as pris ton marché d'alcool illicite. |
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"Chloé avait les lèvres rouges, les cheveux bruns, l'air heureux et sa robe n'y était pour rien"
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Grominou2
Déclamateur Depuis le: 04 octobre 2006 Status actuel: Inactif Messages: 13547 |
Envoyé : 28 septembre 2013 à 12:39 | ||
«Venger son amour et s'interroger sur son existence, ça reste quand même des sujets plus "féminins"»
Il me semble au contraire que les exemples masculins abondent dans la littérature et au cinéma! |
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