Pour le 2e tour, on a le droit de voter pour le titre qu'on a soi-même suggéré. Et comme le vote stratégique est impossible, vous pouvez tout de suite dévoiler votre choix.





Edition Derby et Miller, 1853, VF 1980. 275 pages.

4è de COUVERTURE :

Ce livre raconte l'histoire de Solomon Northup, menuisier et violoniste noir du Nord américain. Homme libre, il est enlevé une nuit alors qu'il voyage loin de chez lui pour être vendu comme esclave. Pendant douze ans, il vit "l'institution particulière" de près : travail forcé de l'aube jusqu'au crépuscule et des coups de fouet sans cesse. Quand il retrouve enfin son statut d'homme libre, il s'attelle à décrire minutieusement ce qu'il a vécu et ce livre en est le fruit. Malgré son calvaire, il réussit à décrire l'économie du Sud avec un oeil de sociologue, une économie agraire qui comble son manque de productivité et son retard en matière d'industrialisation avec cette main-d'oeuvre particulièrement peu coûteuse que sont les esclaves.

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Pieds nus dans l'aube de Félix Leclerc,
Éditeur: Fides pour cette édition,
Première parution en 1947,
233 p.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, Félix Leclerc était un de nos plus grands chanteurs et poètes.

Quatrième de couverture: Premier roman de Félix Leclerc, Pieds nus dans l'aube est une chronique des jours heureux. Un roman où souffle le vent du large, écrit avec le bonheur et la santé d'un peintre qui brosse en chantant la fresque de son enfance. Avec ce roman, Félix Leclerc rend hommage à l'amitié, à l'amour et à la famille qui, seule, sait préparer l'enfant à affronter le monde adulte.

Je n'ai pas vu passer le premier tour avec les vacances, mais pour ce deuxième tour je vote pour le Félix Leclerc, vu que j'aurai sûrement pas d'autre occasion de le lire (tandis que l'autre est sur ma PAL depuis plusieurs mois !)Et ça me fait plaisir de découvrir un peu de littérature québécoise.

Merci, Martine

A vrai dire, c'est la première chose que je fais en arrivant sur le forum... mais il devait y avoir tellement de nouveaux messages après mes trois semaines d'absence que j'ai dû en rater certains