En effet Moby-Dick est un sacré morceau. De mon côté, j'ai lu la moitié, fait une pause d'un an, et lu l'autre moitié. Muffin - 1 - la baleine - 0 ! C'était il y a sept ans.
Bon courage

Allo Denis76,

Je croyais que ce pouvait être des titres qu'on retrouvait sur le site... Bon, je n'avais pas réfléchi très longtemps, apparemment.

C'est une bonne idée, en effet, de le lire après se l'être procuré!

Je vais voir s'il est disponible à la bibliothèque et il se pourrait que je vous suive. Ça a l'air intéressant.

Merci de la suggestion!       

Ça y est, j'ai fini 22/11/63 de Stephen King.

Encore une fois, King nous captive par une longue histoire où, bien que ce soit la trame principale, la tentative de prévenir le meurtre de Kennedy par Oswald n'est pas le seul point d'intérêt, loin de là. En plus d'une guillerette relation amoureuse, il dépeint à merveille ce que peut être la solidarité d'un milieu tissé serré. En prime il nous plonge avec un plaisir perceptible dans la fin des années 50-début 60 où les différences d'avec notre époque saute aux yeux; nostalgiques soyez prévenus, regrets en vue! À travers ces histoire il met aussi en relief l 'importance, et sa fragilité,de la confiance dans le couple et de façon plus générale la prise de risques dans la vie. Le narrateur qui nous relate le tout m'est apparu plein de vie, un brin cynique mais toujours terriblement honnête, sympathique bref. J'ai bien aimé aussi le clin d’œil à « Ça » lorsqu'il rencontre Bev et Ritchie en train de pratiquer une danse; ce genre de lien entre ses livres induisent une complicité qui me rejoint. Pour revenir à l'histoire j'ai aussi bien apprécié la façon d'aborder les voyages dans le temps et encore plus comment il traite leurs « effets papillon ». Quant aux différents dénouements ils m'ont rivés un sourire aux lèvres!

Jamais lu encore un James Patterson. Je sais pas trop. Ce qui me fait hésiter je crois... c'est pas lui qui écrit toujours à 4 mains?
Est-ce parce qu'il surfe sur son nom et sur le talent d'autrui? Je questionne là! J'ai pas de preuves de ça du tout, mais ça me freine certain pour lire un de ces bouquins.
Faudrait que je cherche de l'information un peu plus sur ce cas.

C'est très tentant ce que tu en dis bien que le volume du bouquin me freine un peu. Je n'ai encore jamais lu aucun des livres de cet auteur. Il faut que je le note pour un avenir pas trop lointain j'espère.
Pas pour tout de suite, car je déménage cet été, mais peut-être pour l'hiver prochain.

En tout cas, je garde en note ton commentaire comme mémo.

J'ai acheté quelques bouquins de l'auteur il y a quelques années. Ces auteurs venus du froid (comme on les publicisait) commençaient à être à la mode et j'ai succombé, mais je suis restée un peu sur ma faim. Même si ce n'est pas pour la même raison que toi.
Comme tu dis il s'agit de polar classique. Du polar noir, mais très sobre.

J'ai trouvé ça :

<< il ne travaille pas seul. Son système est simple : il écrit plusieurs scénarios d'environ 80 pages en même temps, et quand ils sont prêts, il délègue la fin de l'écriture à d'autres écrivains. Il ne s'agit pas vraiment de "nègres" à proprement parler, car leurs noms figurent à côté de celui de James Patterson en couverture de chaque ouvrage. Ce sont plutôt des coauteurs travaillant sous sa supervision. >>

Sur http://lifestyle.boursorama.com/article/qui-est-james-patterson-l-ecrivain-le-plus-riche-du-monde_a1892/1

Efficace en tout cas !

Allo Ça!

Pour la lecture de Moby Dick, ne parlons pas de courage mais bien d'inconscience! Je n'avais pas la moindre idée à quel point les films basés sur ce roman avaient étés disons, pour rester correcte... remaniés. En fait, ce sont sans doute les quelques cinquante pages du livre qui ont servies, je le crains. Mais même si le roman n'a pas comblé mes attentes côtés rebondissements et mélodrame, (côté longueurs, WOW!, ça bat tous les records par contre) le style de l'auteur m'a suffisamment intriguée pour me retenir pendant 522 pages, moi qui habituellement n'a pas une patience terrible pour lire quelque chose qui n'aboutit pas. Mais il s'éparpille tellement dans toutes les directions que j'ai fini par rendre les armes. Pour l'instant!

En tout cas, c'est cool que tu ais plein de choses à partager. C'est toujours très intéressant à lire!

À +

RAVIE DE TE RETROUVER. NOUS FORMONS UN SACRE BON GROUPE!

Je viens de terminer: " Lumière Noire" de Minette WALTERS chez STOCK,1996, 443 pages.(Titre anglais: The Dark Room)

Encore une déception (sans abandon)!

J'avais déjà lu deux ou trois romans de cette auteure que je trouvais excellente.

Ce n'est pas le cas pour celui-ci.

Ou bien je deviens vraiment infernale à force d'être difficile, ou bien je choisis mal, ou bien les romanciers ont des hauts et des bas dans leur écriture.

Une riche héritière et photographe de talent se réveille à l'hôpital, après avoir été retrouvée sur un terrain d'aviation désaffecté, jetée d'une voiture qui s'est emboutie dans un pilier en béton.

Elle souffre d'amnésie depuis le choc tout en se rappelant ce qui le précédait. On lui apprend que son fiancé l'a quittée pour sa meilleure amie et qu'ils sont morts tous les deux, assassinés.

Commence alors une longue et fastidieuse enquête car les soupçons se portent tout naturellement sur elle.

L'argument ne me paraissait pas mal mais c'est une fois de plus une grosse déception.

A nouveau les personnages sont quasi tous antipathiques et on ne s'attache à aucun d'entre eux. On passe d'un lieu à un autre, sans aucun suspens, pour suivre tous les déroulements des recherches policières.

L'histoire finit par se révéler tout entière mais la fin est tout bonnement grotesque. L'explication des meurtres ne tient pas debout!   

Encore une fois l'impression que l'auteur ne savait pas comment terminer son bouquin!