The Tempest, pas lu mais j'ai bien aimé l'adaptation où le rôle du magicien est joué par une femme, l'excellente Helen Mirren.

Édité pour mettre la bonne citation ci-dessus, j'avais fait une fausse manoeuvre et m'était citée moi-même!

Je lis également "par tranches" : "JFK - Le dernier témoin" de William REYMOND et Billie SOL ESTES.

Je comprend maintenant ton message.

Je me suis dit que le farfelue qui partage ta vie avait déteint sur toi.

Je commence à lire un des livres de l'une de mes PAL:" L'homme que vous aimerez haïr " de Joséphine Dedet. Un roman hollywoodien librement inspiré par la vie de von Stroheim.

Ayant terminé mes deux lectures en cours, et ayant un peu de temps avant notre LC de février, j'en profite pour faire baisser ma PAL. J'ai choisi un livre qui y est depuis assez longtemps (non, .Taffy, ce n'est pas le Castle! ): Les Autres de Alice Ferney.

Un jour ce sera son tour! J'avance bien dans le Ferney, ça se lit vite. Les chapitres sont très courts, des fois seulement un paragraphe.

Je patauge un peu dans le Ferney, j'aimais beaucoup ça au début mais là je trouve que ça tourne un peu en rond et c'est très verbeux. Le principe est pourtant intéressant et original.

Grenault, ça a l'air différent du genre habituel de Loevenbruck? Celui que j'ai lu se passait au Moyen-âge...

Pour le moment je lis 3 romans en "même temps" un petit bout de chaque jour après jour:

1. "Jack l'Eventreur - Affaire classée, édition définitive" (Portrait of a Killer: Jack the Ripper, Case closed) de Patricia CORNWELL (Traduit de l'américain par Jean ESCH), paru en 2002 en version originale et édité en 2004 au Livre de Poche, 600 pages.

C'est le premier ouvrage de Cornwell que je lis et je suis admirative devant son style et sa rigueur. Une grande écrivaine que je n'avais jamais abordée jusqu'à maintenant, un peu comme Anne PERRY.

Je suis fascinée par l'Angleterre du 19ème siècle et tout spécialement par l'histoire de l'Eventreur, demeurée une énigme à ce jour. Cornwell nous livre sa version des faits et un coupable très crédible.

Malgré une profusion de détails techniques et scientifiques, le roman est tout bonnement passionnant mais sa lecture en continu me semblerait éprouvante, c'est pourquoi je la "coupe" avec d'autres!

J'en suis arrivée au tiers, pas de danger d'abandon!



2."La Petite Garçonnière"de Pelham Grenville WODEHOUSE, paru en anglais (The small Bachelor) en 1927, traduit de l'anglais par Marion GILBERT et Madeleine DUVIVIER, édité en français chez Albin Michel, 1932. La présente édition est celle de Marabout, 1954, 220 pages.

Encore une rareté puisque Marabout sous cette forme n'existe plus. Un beau souvenir d'enfance et d'adolescence, car cette maison d'édition belge à l'origine a fait les beaux jours de toute une génération!


Je connaissais évidemment le titre de ce roman fort célèbre à son époque. Il m'est arrivé de lire deux ou trois "Jeeves" du même auteur.

Pour le plaisir de retrouver une atmosphère et un humour bien particulier!




3."Le Chapeau de Victor Noir"(The Hat of Victor Noir), thriller, d'Adrian MATHEWS traduit de l'anglais par Catherine HAMARD LARGILIER, paru en 1996 en version originale et publié chez Denoël en 2009, 381 pages.

Une de mes trouvailles toutes récentes, dont la lecture avide fait reculer ma PAL


Bon style et bonne histoire, jusqu'à présent!

Magnifiques promenades dans plusieurs quartiers de Paris, dépeints avec beaucoup de réalisme!

RESUME DE L'EDITEUR:


Philip Kovacks, un universitaire britannique installé à Paris, mène une vie recluse, sans saveur. Son divorce l'a laissé seul face à lui-même, replié sur ses obsessions intellectuelles. Un soir, en rentrant chez lui, Kovacks croit percevoir un étrange parfum flotter dans son appartement. Rien de bien inquiétant jusqu'à ce qu'il découvre que sa vieille machine à écrire a disparu, qu'on a fait opposition sur sa carte de crédit et que son permis de séjour vient d'être suspendu. Démuni, incapable de prouver son identité, Kovacks voit sa vie tourner brutalement au cauchemar. Mais c'est sans compter sur l'arrivée impromptue d'un étonnant messager, Babalu, immigré brésilien habitué du Père-Lachaise où il s'ingénie à récupérer les mots doux glissés par les femmes dans le chapeau du célébrissime Victor Noir, sur sa tombe. Babalu débarque dans la vie en miettes du pauvre Philip avec rien de moins qu'un message d'amour à lui délivrer, une lettre tapée... sur sa vieille machine à écrire portée disparue. Envoûtant, subtilement hédoniste, ce roman est une ode à la Ville Lumière et à sa faune hétéroclite, autant qu'à sa réputation de haut lieu de l'amour et du hasard.


N.B. Je continue évidemment la lecture de "L'Idiot" et des "Mémoires de Dumas"