Viens de finir Ensorceleuses / Practical Magic d'Alice Hoffman. Un très bon livre sur la façon de grandir, changer, et sur la famille aussi. J'ai mis du temps à rentrer dedans (la moitié des 300 pages) mais ça valait le coup, l'analyse est très fine et les personnages bien dessinés.

Oui, c'est bien vu pour Fred Vargas, un auteur que j'adore. Ses personnages sont fabuleux.

Yafa, j'ai aimé "le voleur d'ombres"

Qu'est ce que la GRC ?
Et que veux tu dire par : "a bien reflété les idées que les gens de l’ancien pays ont des québécois et réciproquement."?

Depuis plusieurs années que je lis des polars, j'ai eu vent de plusieurs commentaires notamment sur le niveau de québécois présenté comme notre parlé régulier de tous les jours dans ce roman. Présentation qui a valu une sortie en règle de Jacques Languirand et que j'ai essayé de retrouvé sans succès malheureusement.
Alors je suis assez surprise par ton commentaire.
Languirand n'est pas le seul à avoir dénoncé la représentation de Madame Vargas des <particularités de notre dialecte>. Ça m'avait tellement paru singulier que j'ai acheté le roman, mais je ne l'ai pas encore lu.
Ça étonne quelqu'un ?    

Je ne généralise pas et je n’élabore pas ….j’INSISTE sur ce point.
Pour répondre à Denis :
En principe, les québécois sont simples, ouverts et accueillants (ils tutoient plus facilement, et sont plus simples à aborder). Ils ont l’attitude d’un peuple jeune……Hors sujet : leurs insultes sont à base religieuse.
Les français sont plus réservés et formels. Ils vouvoient et ne se mêlent pas facilement aux autres. Ils ont une attitude d’une nation qui a de l’histoire et qui a eu plusieurs colonies à son actif.…. Hors sujet : leurs « jurons » sont plus « laïques ».
Dans le livre de Vargas, les deux commissaires français et québécois mettent en garde leurs employés respectifs contre ces différences et contre les idées préconçues.
Maintenant pour répondre à Ça
Concernant le dialecte québécois dans le livre, personnellement je n’ai jamais entendu quelqu’un utiliser les mêmes combinaisons de Vargas dans la vraie vie, pas à Montréal en tout cas. Je pense qu’elle a fait un effort extraordinaire pour combiner plusieurs mots en peu de phrases pour les faire ressortir. Effort que j’ai trouvé « entertaining » au bout.
Contrairement à M. Languirand, je ne dénonce pas…Je suis toute tolérance surtout que je savais que c’était le prix que les flics français ont dû payer pour profiter des techniques scientifiques de la gendarmerie royale canadienne. Un homologue français de M. Languirand dénoncerait peut être le fait que la police française a dû partir au Canada pour apprendre comment relever du matériel pour étudier le ADN afin d’avancer les enquêtes de la police.

Tu vois, moi je pense différemment. Sans partir en peur comme J. Languirand, j'aime que la représentation d'un peuple ou d'un lieu par exemple soit le plus exact possible. Sinon ça devient de la fiction ou de la fantaisie, non ? C'est un peu comme lorsqu'on lit un livre d'un auteur canadien anglais ou américain qui est traduit en France et se trouve bien souvent parsemé de termes d'argot français. Ça m'apparaît toujours incongru.
Comme quoi des goûts et des couleurs... On peut en discuter, mais on a tous droit à notre opinion.

Faut vraiment que je lise ce livre pour me faire une opinion sur du solide un peu plus.

Comme tu dis, *Ça*, peut-être un jour!

"Le Prince des Marées" fini ! Brillant mais dur !

Je l'ai lu il y a quelques mois et j'ai beaucoup aimé.
La fin m'a bien eu et je me suis attaché aux personnages.
Je l'ai mm suggéré à Martine.

Il y a son 2eme livre qui sorti.

Pourtant, j'ai aimé ! il démontre la folie ds laquelle le plonge sa mechante mere italienne, comme Lila plonge ses enfants au suicide et a la folie (le Prince des marées) : j'ai un compte a regler avec les meres narcissiques perverses, devinez pourquoi !