En fait, j’en lis deux présentement, ça m’arrive parfois! Le premier, c’est : l’art de l’oisiveté de Hermann Hesse que j’ai acheté car j’aimais le titre, c’est un recueil de textes sur l’art du farniente et le second c’est : Rigodon de Louis-Ferdinand Céline qui est un roman autobiographique qui raconte sa fuite de l’Allemagne nazie vers le Danemark où il fût fait prisonnier. Son dernier livre avant sa mort.

Je ne suis pas du tout une lectrice de roman d'espionnage, mais j'avoue que celui-ci après avoir lu un résumé semble très intéressant.
Si tu reviens nous donner tes impressions de lecture se sera apprécié.

C’est sûr que Céline, n’est pas facile à lire mais il faut persévérer car c’est un style, un genre, un monde à lui tout seul, c’est l’ancêtre des Henry Miller, Kerouac, Burroughs, Bukowski, Beigbeder, Mistral et j’en passe. C’est le précurseur de la beat, de la post-beat, de la no-future génération, il a inventé une forme d’écriture qui est aujourd’hui copié à travers le monde. Pour moi Céline, c’est un des plus grands!
Et il faut absolument lire : Voyage au bout de la nuit… qui est son plus grand chef-d’œuvre! Je l’ai lu au moins trois fois…sans blague!
Bonne journée!

Je ne l'ai pas terminé quand je me suis rendu compte que c'était le n°3 d'une série. Je vais essayer de trouver les deux premiers, car c'est intéressant à lire. La forme de ce roman est originale, chaque chapitre paraît raconter une histoire différente, comme un recueil de nouvelles mais on se rend compte que toutes les histoires finalement se recoupent.

Bonjour à tous!
Je suis TOUJOURS occupée par la lecture de Ville Noire Ville Blanche. lA LECTURE SUIVANTE SERA :Verre cassé d'Alain Mabanckou, livre primé lors de l'attribution du "Prix des cinq continents" de la Francophonie.Il enseigne la littérature francophone à l'université de Californie-Los Angeles.Pour moi une découverte à faire!

Celui-là j'imagine que c'est un des plus connus, puisque sur mon édition de The Devil of Nanking (connais pas le nouveau titre en français, il a pas dû encore être édité) il y a écrit "par l'auteur de Skin"...

Bonne lecture, tu nous diras ! Moi je commence à bien rentrer dans le mien.

J'espère que tu ne seras pas déçue Annalekt, mais j'ai lu justement hier une très mauvaise critique sur son roman. C'est même la critique la plus négative que j'ai lu, pire que pour Pig Island.
Je ne mets pas la critique car elle démolit le roman. Si tu veux en savoir plus alors je posterai un aperçu.

Voici un petit résumé de La vie aux aguets :

L'intrigue se passe à deux époques, celle de la mère et celle de la fille.

C'est l'histoire d'une vieille femme qui, se sentant menacée, livre par petits bouts à sa fille, l'histoire de sa vie, pendant la période 39-42. Et cette vie ne fut pas de tout repos car Eva, la mère, assure avoir été espionne pour le compte de Sa Majesté, aux Etats-Unis, époque à laquelle les Britanniques n'étaient pas vraiment les bienvenus aux States et à laquelle, les USA n'étaient pas franchement motivés pour rentrer en guerre... La vie d'Eva se déroule donc à cette époque et décrit la vie d'espion et ses risques... Sa fille, Ruth aura également un rôle à jouer pour terminer cette histoire.

Au-delà du fait que l'intrigue se passe sur fond d'espionnage et de guerre, j'ai bien aimé le fait que cette histoire raconte la vie d'une espionne, d'une femme donc, ce qui, dans le milieu de l'espionnage, est assez rarement évoqué. L'histoire reste très romancée, même si elle se base sur des faits réels. Le style simple de Boyd est agréable à lire et donne envie d'acheter d'autres livres de cet auteur ;-).

Je te comprends parfaitement Annalekt, c'est pour ça que je n'ai pas mis l'aperçu en question. Tout comme toi, je préfèrerais sûrement me faire mon opinion personnelle.
Par contre, le commentaire a été fait par un critique littéraire consacré aux genres thriller et polar. Le magazine où je prends mes infos est réservé au polar et ses dérivés, mais moi aussi j'ai déjà aimé quand eux était plus réservés et vice versa.

je vais commencer à lire 'un enfant de dieu" de cormac mccarthy