L'auteur est présentement à Montréal à l'occasion du   Salon du livre       qui se tient du 14 au 19 novembre 2012 à la Place Bonaventure.
Pour les intéressés, sachez que l'auteur sera sur la tribune de l'émission Tout le monde en parle à Radio-Canada, dimanche en soirée.

Voici la présentation pour l'émission :
L’auteur américain Douglas Kennedy est avant tout romancier « pour éviter les bureaux et pour aller au cinéma tous les jours ». N’empêche, l’auteur de dizaines d’ouvrages, dont L’homme qui voulait vivre sa vie, s’impose une discipline de fer pour écrire sur une base quotidienne. Montréalais à temps partiel, il participe au Salon du livre de Montréal pour présenter Combien (Chasing mammon), un livre sur le pouvoir identitaire de l’argent dans le monde, paru initialement en 1992.



Sera également présent à l'émission, un autre auteur, Grégoire Delacourt qui présente son ouvrage "La liste des mes envies".
Voir la présentation de l'invité :

La liste de ses envies

Encore une fois, finances et littérature cohabitent avec Grégoire Delacourt, dont le livre La liste de mes envies met en scène une femme qui remporte un gros lot et se laisse emporter par le pouvoir corrupteur de l'argent. Auteur dans ses temps libres et publicitaire dans la vie, il rejette du revers de la main les comparaisons avec Frédéric Beigbeder, avec qui il partage le cursus, mais pas la personnalité. Ce dimanche, on vous laisse aussi découvrir pourquoi M. Delacourt porte bien son nom... Étincelles sur le plateau.


Je crois que je ne manquerai pas l'émission cette semaine.

C'est bon à savoir. Son livre pourrait très bien faire parti des choix dans une future lecture commune. Peut-être un jour !


J'ai écouté l'émission et il n'y avait rien de bien terrible durant l'émission. Si ce n'est que Monsieur Delacour a démontré un intérêt trèssssssssss marqué pour Marie-Chantal Perron (comédienne québécoise).
Je n'ai pas été marqué non plus par la présence de Douglas Kennedy, que j'ai trouvé bien au-dessus de ses affaires.
Pas snob, mais pas humble non plus. En fait, sans grand intérêt, si ce n'est qu'il s'exprime pas mal en français. Un peu déçue de sa présence assez fade, moi qui avais tellement aimé son "Cul de sac".

Merci Taffy. Je vais écouter ça.

Tu veux vérifier si je l'ai écouté pour vrai ?
Ben oui, je l'ai écouté et non pas vraiment changé, mais peut-être suis-je un peu injuste envers lui. Je crois que je suis influencée par la déception après avoir lu son livre, La Femme du cinquième.

En fait pour moi, un auteur doit avoir un petit quelque chose de spécial. Une étincelle particulière ou du charisme pour charmer ou accrocher le lecteur. Il fait trop monsieur toutlemonde avec un petit air de je m'en foutisme par-dessus, mais ça n'empêche pas qu'il a l'air sympathique et facile d'approche. Donc tout n'est pas perdu.