Le forum du Guide - Critiques de livres: Le Cimetière du Diable, de Anonyme.

Sonatine, 2011, ISBN  9782355840678

The Devil's Graveyard (Anonyme, 2010, trad 2011, ed. Sonatine)

Fantastique /Horreur

L'auteur du "Livre sans nom" récidive avec le Bourbon Kid.

Deux jeunes policiers vantards sont à deux doigts d'avoir le Bourbon Kid quabd il pénètre dans le Cimetière du Diable. Malgré l'abandon de la poursuite ordonnée par leurs supérieurs, les deux bleus sont sûrs de le capturer ou de le tuer....

A l'hôtel Pasadena au milieu du cimetière du diable, Nigel organise tous les ans un concours de chant dédié aux gloires du passé. Ce "Back from the Death" est en fait un pacte avec le diable, il faut vendre son âme au diable tous les ans.

Goules, morts-vivants, tueurs professionnels se mêlent aux imitateurs et au public.

Histoire intéressante, mais je trouve le style sans finesse, comparé à celui de S. King.

Martine serait plus à même de juger ce livre, car moi qui aime ce qui est proche de la réalité, je suis là hors de mon style de lecture.  

Auteur	Message
denis76 Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872	Sujet: Le Cimetière du Diable, de Anonyme. Envoyé : 09 juin 2012 à 13:55
	Sonatine, 2011, ISBN 9782355840678 The Devil's Graveyard (Anonyme, 2010, trad 2011, ed. Sonatine) Fantastique /Horreur L'auteur du "Livre sans nom" récidive avec le Bourbon Kid. Deux jeunes policiers vantards sont à deux doigts d'avoir le Bourbon Kid quabd il pénètre dans le Cimetière du Diable. Malgré l'abandon de la poursuite ordonnée par leurs supérieurs, les deux bleus sont sûrs de le capturer ou de le tuer.... A l'hôtel Pasadena au milieu du cimetière du diable, Nigel organise tous les ans un concours de chant dédié aux gloires du passé. Ce "Back from the Death" est en fait un pacte avec le diable, il faut vendre son âme au diable tous les ans. Goules, morts-vivants, tueurs professionnels se mêlent aux imitateurs et au public. Histoire intéressante, mais je trouve le style sans finesse, comparé à celui de S. King. Martine serait plus à même de juger ce livre, car moi qui aime ce qui est proche de la réalité, je suis là hors de mon style de lecture.

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* Ça * Déclamateur Modérateur Depuis le: 19 novembre 2004 Status actuel: Inactif Messages: 7625	Envoyé : 09 juin 2012 à 15:21
	Pendant un moment j'ai pensé que tu parlais du quatrième tome de la série des "Anonyme" et comme je ne l'ai pas lu encore je ne voulais pas lire ton message. J'ai donc commencé par les deux dernières lignes. Bien sûr j'ai lu ce troisième tome ainsi que les deux précédents, qui sont à mon avis nécessaire pour apprécier celui-ci. C'est Lélia qui avait mentionné le premier tome m'invitant à le lire car elle était certaine que j'aurais bien du plaisir à cette lecture, et elle avait raison. En fait cette série est une grosse caricature des livres et films d'horreur série B. Plein de références à des auteurs décédés. Bien sûr, il faut prendre le tout avec humour car c'est totalement éclaté. Moi j'adore et j'attendais le quatrième qui viens à peine de sortir alors qu'il était annoncé il y a deux mois. Sa sortie retardée je ne sais pas pourquoi. Peut-être victime de son succès.
	* Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux _ J.Renard * Les gens qui ne rient jamais ne sont pas sérieux _ Alphonse Allais
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denis76 Déclamateur Depuis le: 21 janvier 2010 Status actuel: Inactif Messages: 6872	Envoyé : 09 juin 2012 à 16:13
	Oui, je pense que tu apprécies ce style plus que moi. Il y a une reference, (ou l'auteur s'est inspiré ) du grand bluesman Robert Johnson : "un soir très sombre alors qu'il se promenait dans les alentours de Clarksdale dans le Mississippi, il se perdit à un carrefour (crossroads en anglais). Alors qu'il commençait à s'endormir une brise fraîche le réveilla. Il vit au-dessus de lui une ombre immense avec un long chapeau. Effrayé, ne pouvant dévisager cette apparition Johnson resta comme paralysé. Sans un mot l'apparition se pencha, prit sa guitare, l'accorda, joua quelques notes divines avant de lui rendre l'instrument et de disparaître dans le vent noir du Sud. En réalité, cette légende provient d'un autre bluesman, Tommy Johnson, qui prétendait avoir vendu son âme au diable, un soir, à un carrefour, pour obtenir sa virtuosité à la guitare. Robert Johnson aurait donc repris cette histoire à son compte" (Wiki) L'auteur porte une severe critique aux organisateurs de concours de chants qu'il accuse de vendre du vent, de vendre leurs âmes au diable. Le livre de la mort est paru ici, avec une sorte de Voldemort en couverture.
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