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 Le forum du Guide - Critiques de livres : Littérature : Critiques
Icône du message Sujet: Il ne faut pas parler dans ... _ Martin MICHAUD Répondre Nouveau sujet
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* Ça *
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Citer * Ça * Réponsebullet Sujet: Il ne faut pas parler dans ... _ Martin MICHAUD
    Envoyé : 07 février 2013 à 09:38

Il ne faut pas parler dans l’ascenseur     




Auteur Martin Michaud
Les Éditions Goélette                    
Janvier 2010, 392 pages                              
ISBN : 978-2-89638-620-8




Distinctions :
- Gagnant, Prix Coup de cœur, Saint-Pacôme 2010
- Finaliste, Grands Prix littéraires Archambault





CRITIQUE

Nouveau venu sur la scène du roman policier québécois, Martin Michaud s’inscrit tout de suite comme auteur très prometteur avec ce premier ouvrage déjà primé.

L’auteur présente deux personnages forts, profondément blessés dans leur âme. Le lecteur apprend tôt que Simone Fortin se cache en fuyant son passé, alors que Victor Lessard cherche plutôt à se rebâtir une vie à partir des ruines de son passé. Alors que durant ce temps, un prédateur veille. C’est d’ailleurs l’image que l'auteur nous sert en début d’histoire, ce qui peut donner une fausse image du ton réel du livre. Ce roman à mi-chemin entre le thriller et le polar noir, n’est pas aussi dur qu’il paraît à prime abord.

Simone tombe complètement sous le charme de Miles Green, un homme singulier, le jour où elle passe à un cheveu de perdre la vie sous les roues d’une voiture, dont le chauffard ne s’est pas arrêté. Singulier également le fait qu’elle ferme les yeux un moment pour les ouvrir dans un tout autre environnement. Réveil brutal et incompréhensible pour la jeune femme. D’autant que même l’espace-temps ne semble pas correspondre à ses souvenirs. Simone se défend d’avoir rêvée les gens, les lieux et les faits de ces dernières heures, et s’efforce de trouver réponse à ses questions en voulant retrouver Miles qui semble s’être évaporé.
Durant ce temps Victor Lessard détective au SPVM (Société de la Police de la Ville de Montréal) est aux prises avec une enquête qui lui apporte plus de questions que de réponses. Le personnage du détective m’a évoqué quelques autres croisés au fil de mes lectures. Un mélange du Wallander de H. Mankell par sa mélancolie, alors que son air blessé, sombre et fermé rappelle « Bird » Kenzie de Dennis Lehane, mais c’est son côté faillible tout comme Rebus des romans de Ian Rankin, qui nous le rend tout aussi attachant.

L’alternance rapide entre les courtes apparitions des divers personnages et leurs interactions dans l’histoire donne un rythme rapide sans temps mort. Si très vite le lecteur est mis aux premières loges des gestes et motivations du tueur, l’auteur sait garder le mystère. Astucieux il tend des perches, des fils qui orientent le déroulement de l’enquête et de l’histoire dans plus d’une direction.
- Qu’est-ce qui semble lier un homme mystérieux à un jeune homme autistique ?
- Le Chef de police qui de façon insidieuse cherche à influer sur la direction de l’enquête. Qui protège-t-il? Lui-même ou une grosse huile?
Un bémol _ j’ai parfois eu l’impression que l’avancée de l’enquête était due au hasard plus qu'aux indices.

Quelques touches mélo, parfois peut-être un peu gros, mais dont certaines sont venues me chercher. Bon ! Ok ! Je vous l’accorde que je souffre parfois de sensiblerie.
Des touches mélo oui. Mais pas trop tout de même, et puis ça donne une couleur plus humaine aux personnages.

Il est tout aussi délicat d’utiliser un concept métaphysique, qu’un élément fantastique dans le cadre d’un roman policier. J’ai peu de respect pour un auteur qui utilise la facilité d’un coup d’éclat surnaturel ou fantastique pour orienter un récit policier afin d’arriver au dénouement désiré. Trop facile et pas du tout crédible.
Ce n’est toutefois pas le cas dans ce roman, car malgré l’utilisation métaphysique de certains faits et personnages, l’auteur le fait intelligemment, sans abus et sans interférer sur la crédibilité du récit et la sensibilité du lecteur.


En attendant, de passer au second récit, << La Chorale du diable >>, j’accorde un 4 étoiles   à << Il ne faut pas parler dans l’ascenseur >>.






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Citer * Ça * Réponsebullet Envoyé : 07 février 2013 à 09:47


Étant donné que c’était une relecture et malgré que j’en aie fait le choix, je tardais à débuter la lecture du roman. Pourtant quel plaisir j’ai eu au final à relire une histoire dont j’ai pu de ce fait apprécier réellement l’atmosphère (de certaines scènes) et son aura métaphysique.




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Citer Grominou2 Réponsebullet Envoyé : 07 février 2013 à 15:25
Je l'ai lu à sa sortie, j'en garde un excellent souvenir, malgré quelques petits défauts d'écriture, qui d'ailleurs s'améliorent dans le tome 2. Le personnage du policier au passé difficile, c'est moyennement original, mais on s'y attache tout de même. Le petit côté fantastique fait toute l'originalité et est bien intégré au roman, comme tu l'as souligné.

Comme défauts j'avais relevé une écriture un peu terne, et la tendance à trop expliquer certains détails.
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Citer * Ça * Réponsebullet Envoyé : 10 février 2013 à 12:12


C’est vrai que c’est plutôt courant dans le monde du polar noir (plus que du roman policier procédural) de retrouver comme personnage principal, policier ou autre, un être torturé ou au moins blessé par la vie, au passé ou à la jeunesse difficile et marquant. Rien d’original, mais bien que ça fasse des années que je lis du polar, je ne suis pas encore tannée.
J’aime moins par contre lorsque le dit personnage est trop marginal, dans le sens qu’il abuse trop des drogues et/ou alcool, à l’image du personnage récurrent de Jo Nesbo. Harry Hole a un grave problème d’alcool et de drogue et consomme à outrance.

Pour ce qui est de l’écriture, j’avoue n’avoir rien relevé. Mais faut dire que je n’attends pas d’un polar, de belles grandes phrases et des mots à cinq piastres non plus. D’ailleurs c’est un des points que j’ai relevé dans mon commentaire sur le second volet des aventures de Victor Lessard.
Par contre, on en trouve quelques-unes de ces jolies phrases, bien écrites et bien placées dans les histoires de l’auteur John Connolly. Et ce, bien que ces romans soient très noirs. Il a une belle plume.

Pour la tendance à trop de détails comme les notes en bas de page inutiles que tu mentionnes dans ton appréciation du roman sur ton blog, j’avoue ne pas avoir porté une attention particulière à cette note, mais j’ai retrouvé une note justement, que j’avais écrite suite à ma première lecture et qui disait : << Détails superflus à certains moments, par exemple concernant les rues de la ville, mais manque d’infos d’autres fois, sur sa sœur entre-autres.
Il faut dire que je suis très amatrice (je trouve ce mot tellement laid) de détails et que plus souvent qu’autrement j’ai besoin que l’on me fasse un dessin car j’ai la « comprenure » lente par bout.

D’ailleurs ce point me ramène en mémoire, un commentaire fait par un critique (N. Spehner) dans la revue Alibis #38, qui était pour le second livre.

Je le trouve et je cite :

<< Avis aux auteurs débutants et/ou chevronnés : N’employez JAMAIS ces fichues MAJUSCULES, un procédé d’insistance plutôt simpliste et peu efficace. Faites donc plutôt confiance à l’intelligence du lecteur! Quand < lama > est fâché, on sait bien qu’il crache. Pas la peine en plus de lui tendre un seau d’eau…>>   J’ai trouvé ça drôle, mais j’avoue que je n’avais rien remarqué dans ce cas non plus.



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Citer Grominou2 Réponsebullet Envoyé : 11 février 2013 à 01:14
Toi, la comprenure lente?! Je n'en crois pas un mot!!!

La citation sur le lama m'a bien fait rire!
Grominou

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Citer Taffy Réponsebullet Envoyé : 08 mars 2013 à 11:33
Je trouve qu'on porte un peu trop de crédit à ce livre (et p-e l'auteur?).

Le gros problème pour mois, c'est l'alternance de la premiere personne à la troisième personne.

Je trouve vraiment inaproprier d'utiliser la 1ere personne dans des thriller et policier.
Ce que j'aime encore mois, c'est d'utiliser les 2!

Bref, ça m'a un peu agaçé, j'aurais préféré qu'il n'utilise qu'une voie.

L'entrée de Lessard, m'a déplus au début avec ce famaux cliché du flic qui bat de l'aile, mais ça s'améliore après.

Et en effet, les touches mélo, sont plutôt de trop et mal exploité en particulier à la fin où j'ai, à plusieurs reprises ''rouler les yeux''!!!

Et l'aspect métaphysique, hmm... Je l'aurais aimé si ça aurais été un thriller surnaturel, mais pas dans un livre de policier/polar où il y a un ''inspecteur vedette'' (donc que la série est basé sur lui).
C'était de trop je trouve... Mais bon, malgré tout, l'auteur s'en ai quand mm tiré, malgré que ce n'était vraiment pas nécessaire et n'est qu'un prétexte pour faire durer le livre plus longtemps.

SPOILER en blanc. Pour lire, saisir le texte entre les deux balises spoiler. En effet, juste à cause de ça que Simone sors de son lit d'hôpital pour investiquer sur ça et que le tueur la ''rate''... FIN SPOILER.

Bref, y'a beaucoup de défaut, mais j'ai quand même apprécié, assez pour voir si le 2eme devient meilleur, je l'espère.
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Citer Grominou2 Réponsebullet Envoyé : 09 mars 2013 à 00:20
Moi j'ai plutôt aimé le petit côté surnaturel, je trouve que c'est ce qui fait l'originalité du livre, car il est vrai que côté personnage principal il fait un peu cliché...

Tu vas voir que le deuxième est meilleur, et selon *Ça* le troisième aussi!
Grominou

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Citer * Ça * Réponsebullet Envoyé : 09 mars 2013 à 05:55


Ouch! T'es dur je trouve.
Tu me fais de la peine.
Je rigole bien sûr... mais je te trouve dur pareil!

En fait, je comprend et je partage ton opinion pour l'utilisation du surnaturel dans un roman policier. Principalement dans la résolution d'intrigue. Là c'est du n'importe quoi!
Mais dans ce cas ci, on ne peut parler tout à fait de surnaturel comme dans les histoires de fantômes.
Selon moi, ça frôle plus l'ésotérisme, la conscience, ce qui touche le cérébral et l'inconnu lié au domaine encore à ce jour. Et surtout, ça fait partie intégrante de l'histoire et non pas un détail par ci par là, ou venu de nulle part.


Je suis d'accord avec Grominou pour le personnage principal qui fait cliché. Après trois romans de l'auteur, je crois qu'il a chargé beaucoup le personnage pour se démarquer un peu tout de même. On le voit surtout dans le second roman. À mon goût personnel c'est trop, mais même s'il souscrit au stéréotype de l'enquêteur atypique du modèle (devenu cliché) de l'homme fort et meurtri, c'est pas pire que les gros thrillers à l'américaine dégoulinant de jus rouge.

À mon humble avis, Martin Michaud apporte une touche différente. Je trouve qu'il offre une belle alternative entre le gros thriller bien juteux et le polar conventionnel.



Pour le troisième, j'y travaille un peu.


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Citer Taffy Réponsebullet Envoyé : 09 mars 2013 à 12:36
je savais bien que Martine viendrais défendre son protégé!

Moi non plus, je ne parle pas de surnaturel, j'ai pris la même expression que toi, ''métaphysique''.

Comme je te dis c'est bien, mais ça fite pas dans un policier, ça irais dans un thriller.
Et comme j'ai dit, ça viens juste donner une excuse pour que le livre dure plus longtemps et vire dans la mièvrie.

Martin ne s'est pas creusé la tête trop trop, il aurait pu éviter cette ''facilité''!

Mais bon, j'ai beaucoup aimé le début, mais l'espect de la première et 3eme personnes en alternance m'a un peu irrité.

C'est comme ça aussi dans les autres?

J'ai l'air de chialer beaucoup contre le livre, mais je l'ai quand mm apprécier, c'est juste qu'il mérite pas tout ces éloge.

Grominou, d'ailleurs, c'est le 3eme qui m;intéresse.
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Citer * Ça * Réponsebullet Envoyé : 10 mars 2013 à 15:24


Je n’ai personnellement ressenti aucune gêne avec le fait de passer régulièrement du je à la troisième personne durant la lecture. De mémoire, je dirais que ça se remarque surtout dans le premier livre.
Dans le second, c’est encore assez présent, mais si ma mémoire est bonne, c’est seulement ou surtout, durant les monologues que se tient le personnage de Victor Lessard. Les moments où le lecteur lit ses pensées troublées. Ce que moi j’en ai retenu surtout, c’est la faiblesse du personnage. Même sachant que c’est voulu ainsi, que ça fait partie du caractère de celui-ci, ça m’agaçait de le sentir aussi peu sûr de ses moyens.


Pour en revenir à l’alternance de la première à la troisième personne dans le premier roman, c’est un moyen utilisé parfois dans le genre littéraire (thriller) pour permettre au lecteur d’être plus qu’un témoin qui assiste.
Le lecteur étant ainsi dans le feu de l’action, si je puis dire. Devant ainsi se sentir plus impliqué dans le récit. Je n’ai pas senti d’abus dans ce livre. Bien au contraire, je trouvais que tout coulait bien et que ça permettait de garder un rythme intéressant, contrebalançant les parties plus (trop) tranquilles du personnage V. Lessard. Ces parties se voulant plus introspectives pour apprendre à connaître le personnage. En tout cas, c’est comme ça que je l’ai compris.


Mais Taffy, tu parles comme si ce roman n’était pas un thriller. À la limite je peux comprendre pourquoi tu penses qu’il est plus acceptable, l’utilisation de détails métaphysiques ou surnaturels dans le thriller que dans le roman procédural.
(Je te conseillerais d’ailleurs d’essayer les romans de John Connolly. Si ça t’intéresse un jour, je te dirai par quoi commencer.)
Mais si on tient compte qu’à la base, le thriller n’est qu’un sous-genre du roman policier, tout comme le roman noir ! Et que pour moi dans cette histoire, le fait demeure crédible. Du moins, le point peu se défendre à mon avis.
SPOILER Que sait-on réellement du coma profond ? FIN SPOILER

Et tu vas être heureux de savoir, qu’il n’y a aucun aspect métaphysique ou surnaturel dans les deux livres suivant. Mais je ne parle pas de ce que peut générer l’esprit d’une personne troublée ou stressée.


En ce qui me concerne, je ne sais trop dans quelle critique je l’ai déjà dit, mais je considère que Martin Michaud a choisi sa niche en écrivant du thriller sans tomber dans l’éternel gros thriller à l’américaine. Un style qui se donne le loisir de pouvoir plaire aux amateurs de romans policiers tout en étant accessible aux habitués de littérature dites plus blanche.




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Citer Taffy Réponsebullet Envoyé : 10 mars 2013 à 17:43
Let's go Mart', sort les gants de boxes, je t'attends!

Il est clair que nous avons 2 opinions différentes et que, pour ma part, il est très difficile de m'expliquer par écrit. Je ne vais donc pas élaborer.

Mais pour en revenir à la notion ''thriller'' et ''policier''.

Pour moi le (vrai) thriller (psychologique) n'implique peu ou pas la police (et tout le tralala qui va avec).
On suis en général la personne à qui les évènements arrivent et elle ''enquête'' et doit échaper au main du meurtrier (grossier résumé, mais en gros c'est ça).

Tandisque que le ''policier'', c'est dès enquête policière qu'on suit. Inspercteur, procureur, FBI, police ...

Et le polar... et bien, je ne sais trop! Pour moi c'est un autre nom donner au policier, mais j'imagine que le thriller y est plus présent?
Bref, je préfère les thriller.

Pour John Connoly, dis moi, je suis preneur!

ps: Je vais bientôt reçevoir le 2eme de la biblio, on verra!
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Citer Grominou2 Réponsebullet Envoyé : 11 mars 2013 à 00:47
Message posté par * Ça *



Et tu vas être heureux de savoir, qu’il n’y a aucun aspect métaphysique ou surnaturel dans les deux livres suivant. Mais je ne parle pas de ce que peut générer l’esprit d’une personne troublée ou stressée.




J'ai trouvé qu'il y avait quand même un petit côté métaphysique dans le deuxième, car on ne sait pas si certaines choses sont des créations de son esprit troublé comme tu dis ou si elles sont réelles...
Grominou

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Citer * Ça * Réponsebullet Envoyé : 11 mars 2013 à 09:45


Comme quoi tout est dans l'oeil du lecteur, finalement.
Si le métaphysique dérange Taffy, il n'aura qu'à voir ça comme moi. N'es-ce pas Taffy?



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Citer Taffy Réponsebullet Envoyé : 11 mars 2013 à 12:32
Message posté par * Ça *



Comme quoi tout est dans l'oeil du lecteur, finalement.
Si le métaphysique dérange Taffy, il n'aura qu'à voir ça comme moi. N'es-ce pas Taffy?


Ou je n'aurai qu'à arrêter de lire les livres de l'auteur!
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