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Editeur :Quidam
Pages :193

Quatrième de couverture
1942 : la barbarie nazie est à l’œuvre en Europe. L’Allemagne a quasiment défait le contient et menace la Russie.
Dans Paris occupé, Karl Bazinger, officier de la Wehrmacht, réalise qu’il ne peut plus ignorer ce qu’est cette guerre. Aventurier, voyageur, parfait gentleman, Karl a jusqu’alors toujours privilégié la vie à la politique mais désormais il s’interroge sur le régime qu’il sert. En Allemagne, son ami de la Luftwaffe, Hans Bielenberg, a trouvé la réponse dont il sait avec certitude qu’elle le conduira à la mort. A Kiev, la doctoresse et guérisseuse Katia Zvesdny prend soin de ce qui reste de sa famille, décimée à la fois par le Goulag et le massacre de Babi Yar.
Dans un style lumineux et sur le ton de l’élégie, Nella Bielski entremêle, dans ce roman très russe, les destins de vies prises dans les soubresauts de l’Histoire.

Mon avis
J’ai moyennement aimé ce livre.
Le fond de l’histoire est peut être la raison. Cela se passe pendant l’occupation allemande, tout d’abord à Paris, puis en Russie.
Les vies des personnages ne sont pas assez développé à mon goût, certaines choses sont trop vague.