Mathilda a rompu avec Joaquim; celui-ci est dévasté et erre comme une âme en peine au sein de Lisbonne. Le soir du 1er novembre, fête des morts, il se retrouve dans un bar où les gens se souviennent de ceux qui les ont quittés.
C'est un roman très lourd et complètement indigeste à mon sens. Je l'ai mis de côté au bout de 130 pages... l'ai repris un jour plus tard et l'ai remis sur la tablette au bout de 150 pages. Pourtant, il ne me restait que 60 pages à lire, mais je n'en pouvais plus.
C'est dommage parce que j'adore cet auteur habituellement, mais là, ouff...
Je lui ai accordé un point pour la réflexion de l'archiviste sur sa collection de Parapluie. Celui-ci nous raconte comment l'amour peut rendre toute chose unique à nos yeux. Une belle réflexion sur l'amour!