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Arditi, Metin 
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Le livre commençait mal et j'ai eu peur. Kafka écrit à son ami Max Brod. Pour cause de « furonculose mal placée», il a dû quitter Paris et rentre à Prague. Dans le train, il discute avec un vieux monsieur qui s'époumone; un certain Marcel Proust. Puis il essaie de se lier avec le deuxième voyageur très renfrogné et taiseux. Cette lettre, jamais envoyée parce que perdue dans la doublure d'une sacoche se retrouve dans les mains d'un antiquaire, Pavel Kutman.
Un grand collectionneur, riche banquier suisse est prêt à la lui acheter, doublement intéressé puisque le taiseux était son grand-père, mais Pavel préfère l'échanger contre un grand service. Tatiana, sa fille unique est soprano dramatique. Elle gâche ses talents dans des petites productions locales alors qu'elle a tous les ingrédients pour être une chanteuse internationale. Armand Hugues, banquier, collectionneur, s'occupe aussi de l'Orchestre, du Conservatoire et du Concours annuel de chant de Genève. Il accepte la proposition avec des réserves, mais prend en charge Tatiana et lui fait prendre des cours avec le meilleur professeur.
Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que cette rencontre bouleverserait ses convictions et sa vie.
Ce livre ne pouvait que me plaire puisqu'il parle d'opéra et de voix. De plus, il y a beaucoup de phrases en italien avec quelques mots du dialecte de Trieste. Raison de plus de me régaler.
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médée66
(173 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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2/4/2012
* nouveauté *
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