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Arcan, Nelly 
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Tous ceux qui disent que ce livre est mauvais, ont un esprit totalement fermé. Le monde n'est pas beau tout simplement, il faudrait que vous cherchiez au delà des mots, que vous accordiez à chaque mot une importance, il faudrait que vous ne soyez plus aveugle ou bien que vous essayez de comprendre. Les gens sont malheureusement trop hypocrites, nous ne pensons qu’à nous même, tous autant que nous sommes. Des hypocrites qui un jour finirons par mourir, ouvrez les yeux. Le point de vue n'est bon que pour les faibles, on doit être en mesure d’apprécier chaque chose, peu importe laquelle.
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Ibene
(première critique)
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Genre : Fiction
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12/1/2009
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Arcan, Nelly
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Etant adepte de Françoise Rey, je me suis dit: Tiens, un livre avec un tel titre, c'est peut être un nouvel auteur érotique un peu intéressant. Qu'ai-je dit????!!!!!!
Ce livre est long, ennuyeux, un style fastidieux, pas une histoire, rien, le néant. Je ne l'ai même pas fini.
Je vous déconseille TRÈS vivement d'acheter ce livre. Restez sur des valeurs sûres, celle-ci est plus que sableuse.
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Lilly
(2 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Littérature érotique
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| | | Date :
10/1/2008
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Arcan , Nelly
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Un récit cru sur forme de titre racoleur : « Putain » .
Ou « Tout ce que l'on a toujours voulu savoir sur l'univers d'une forme de prostitution sans oser le demander »... mais tout de même une prostitution « de luxe », si tant est que ça se puisse qualifier ainsi, peut-être parce qu'exercé volontairement et librement, « proprement » en somme.
Tout y est : le dégoût, le plaisir et j'en passe...
Nelly Arcan, étudiante québécoise de 27 ans, raconte. Imagine beaucoup, se sublime ou se détruit au long de ces pages.
Le livre est d'ailleurs en catégorie « Roman« », alors qu'il paraît plutôt autobiographique, ou autoportraitiste, on hésite sur les qualificatifs.
La putain cherche à plaire, à se plaire, mais également à se détruire dans cette activité en se salissant et abolissant par là même l'image du père. Une « vengeance ».
L'obsession devient tellement forte que l'héroïne se trouve souvent sur un divan de psychanalyste...
Cela donne un rendu introspectif sur mode de confession outrancière.
Volontairement agressif.
On est très loin d'une Catherine Millet : Les propos restent relativement abstraits et le sexe sert davantage de repoussoir que de prétexte à des descriptions crues et remuantes.
Ce n'est en rien affriolant, mais plutôt un combat à la Janus sur l'agressivité de cette putain pas trop respectable ni respectueuse et une pleurnicherie de bon aloi.
Bref... érotique si l'on veut bien.
Sur audio mp3, lu par Françoise Blaise, 150 minutes.
Version papier : Seuil, 5 septembre 2002, 186 pages, ISBN : 2020557177.
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Christiane Mélin
(332 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | | Date :
7/1/2006
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Arcan, Nelly
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Cette escorte québécoise qui utilise le prénom Cynthia pour faire son métier nous raconte dans ce court livre sa vie, ses expériences, son témoignage. Elle nous raconte son enfance, l'obsession qu'elle a pour ses parents, ce que le métier de prostituée lui apporte, ce qu'elle pense des autres femmes, des hommes.
Ce n'est pas un roman, mais plutôt un récit criant de vérité mais auquel je n'ai parfois pas cru, peut-être parce que je ne voulais pas y croire. J'ai aimé certains passages qui nous font comprendre ce qui la pousse à faire ce métier et les passages où elle exprime son besoin d'être aimée, de plaire, ses complexes. Je me suis reconnue en elle à certains moments et j'ai trouvé ça... sympathique. Par contre, je suis restée sur ma faim, et je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi elle fait ça, ce qui m'a donné un arrière-goût insatisfaisant en refermant le livre.
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Cynthia Wiseman
(80 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | | Date :
4/1/2002
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Arcan, Nelly
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Une putain haut de gamme, œuvrant dans un appartement de l'agence d'escortes qui l'a embauchée, se raconte. Il s'agit d'un cri d'une victime, un cri cru d'une femme encore enfant qui déteste sa mère qui n'a pas su aimer son mari. La putain aime son père et son psychanalyste à la manière de deux amants avec qui elle souhaite coucher. Elle verra une parcelle de son père dans chacun de ses clients. Elle est déjà morte, soumise aux corps masculins, mais incapable d'aimer et d'être aimée, obsédée par sa jeunesse qui s'en va malgré son jeune âge (début vingtaine). Sa mère est une larve et elle aussi en deviendra une.
Il n'y a aucune histoire dans ce roman, la structure est absente et on ne peut déceler aucun schéma narratif. Une longue litanie dont les phrases sont parfois trop lourdes. Il n'y a qu'une ou deux phrases dans chaque paragraphe. L'auteur a un talent syntaxique mais le sujet sent le réchauffé freudien : encore une fille incapable de se défaire de l'amour incestueux qu'elle entretient de son père. Y a-t-il eu acte sexuel avec ce dernier? L'histoire ne le dira pas. Le discours est souvent très vulgaire, comme on peut s'y attendre.
En dessous de mes attentes compte tenu du battage médiatique entourant l'œuvre et l'auteure.
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Stéphanie Dubois
(74 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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Édition : Seuil, 2001, 187 p.
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| | | Date :
avant 2001
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Livre(s) de Nelly Arcan critiqué(s) sur le Guide
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