Si ce n'est que Yann Andréa Steiner utilise un peu trop le style durassien dans son écriture, on peut apprécier et presqu'aimer la douleur écrite dans ce livre. Un des chemins qu'a pris Marguerite Duras est celui difficile des six bouteilles de vin par jour. Yann Andrea raconte la cure, les hallucinations, l'imaginaire et la souffrance d'une auteure plus qu'immense et reconnue partout dans le monde.