Une autobiographie à la plume mélancolique, un soupçon de lyrisme, un génie mis à nu.
Rousseau nous dévoile sa vie, de son enfance à sa mort tout en y exposant ses «convictions». Bien sûr, il ne cherche ni à convaincre ni à persuader le lecteur ce qui fait le premier charme de son oeuvre, de mon point de vue.
Comment ne pas succomber aux tourments de l'âme de l'auteur d'une des pages consacrée à la musique, dans la célèbre Encyclopédie? Comment ne pas s'émouvoir face aux péripéties de sa vie (qu'elles soient joyeuses ou non)?
Ce sont des questions auxquelles je n'ai pas de réponses. Certains me diront que Rousseau n'était qu'un fou, épris de masochisme et d'un idéalisme complètement idyllique. Oui , oui: et alors?
C'est ce qui fait le caractère de son oeuvre: A lire sans modération.
Suggestion(s) de lecture :
Les rêveries du promeneur solitaire de J.J Rousseau