Le portrait de Mademoiselle Hayder en 2e de couverture ne laisse rien
deviner des turpitudes qui semblent grenouiller dans son cortex
cérébral. On découvre en effet une jolie blonde avec des yeux candides
et des pommettes eurasiennes.
Voilà un livre à lire fenêtres ouvertes. On y parle en effet de
nécrophilie. Un cadavre en décomposition ça pue. Et il semble y avoir
des amateurs pour ce genre d'activités illicites. Je ne vous dévoilerai
rien de l'intrigue, si ce n'est que l’inspecteur Caffery aura fort à
faire pour traquer l'auteur de meurtres en série sur des jeunes femmes
en région londonienne. C'est bien fichu, mais on est content d'arriver
au bout.