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Akounine, Boris
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Eraste Fandorine est un jeune fonctionnaire de la police russe, fraîchement arrivé à son poste en ce mois de mai 1876. Son premier vrai travail va être d'enquêter sur un suicide qui lui paraît plutôt surprenant. Un jeune
homme de bonne famille se suicide après qu'une belle jeune femme inconnue lui ait refusé un baiser sur le front. Mais cette mort n'est que la première. D'autres disparitions auront lieu. On découvrira au passage un groupe de nihilistes, un orphelinat aux visées spectaculaires, une femme aux pouvoirs de séduction envoûtants et des personnages attachants.
Ce premier tome d'une série de sept, pour l'instant, a connu un succès assez conséquent en Russie, patrie de l'auteur. Il faut dire que le livre a tout pour plaire. Tout d'abord le héros. Il serait plus proche de Columbo que de James Bond ou Hercule Poirot. C'est un Russe de l'époque comme un autre, ni
héros dans l'âme, ni même l'exemple type du looser. Bref, un petit gars perspicace, qui a de la chance et attachant comme tout. L'enquête en elle-même est assez intéressante, et surtout l'auteur sait très bien créer le
suspense. Chaque chapitre se termine, comme il se doit, par un mystère que l'on résout dans les pages suivantes et qui tient le lecteur. Il manque peut-être simplement un peu de détachement à Boris Akounine pour arriver à créer, en plus, un mystère qui s'étalerait comme une toile de fond sur tout
le roman.
L'ambiance est assez sympathique et le côté russe dépayse un peu.
Il semblerait que l'auteur ait mené tout au long de son roman un jeu qui consistait à placer bon nombre de références littéraires russes, ce qui, semble t-il, rajoute encore de l'intérêt pour le lectorat d'origine.
Roman agréable à lire.
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Cédric Blanchard
(308 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Roman historique
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| | Date :
avant 2001
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Asimov, Isaac
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18 nouvelles comiques tournent autour du même personnage: George, qui n'a pas le sous, et raconte au narrateur (Asimov), pour
gagner son repas, des histoires étranges qui lui arrivent en raison du pouvoir qu'il possède: il peut faire apparaître un démon dote
de pouvoirs magiques qui malheureusement sont toujours mal employés, le démon comprenant toujours tout de travers, et qui
ont toujours l'effet contraire a celui recherche.
Lire ça, c'est un régal. En plus des histoires d'Azazel, les dialogues entre George et Asimov poses sur un ton très sérieux font
bien marrer. A vrai dire, j'ai écrit ces lignes juste après la lecture du bouquin, et j'étais jeune. Mais je penses que c'est tout de
même vrai: je me suis bien éclaté à lire ces histoires, on cherche un peu a savoir comment tout va se terminer, tout étant
finalement base sur l'incompréhension mutuelle de l'homme et du génie.
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Sulies Ambroise
(10 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Science fiction et Fantaisie
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| | Date :
avant 2001
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Livre(s) de Boris Akounine critiqué(s) sur le Guide
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