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Mankell, Henning 
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[ATTENTION: Cette critique révèle le contenu du livre.]
En novembre 1978, une forêt glauque en Guyana, un homme se cache. Il est le seul rescapé d'un massacre-suicide collectif d'une secte.
Fin août 2001, des cygnes brûlent au dessus d'un lac puis c'est le tour d'un taureau et d'une animalerie dans le centre d'Ystad. Entre temps, on retrouve la tête et les mains en prière d'une femme qui avait disparue et n'avait rien à se reprocher, bien sûr. Linda va entrer dans la police d'Ystad mais elle revêt l'uniforme «invisible» avant l'heure. Son amie Anna disparaît et elle sent que
c'est grave. Son père ne la prend pas assez au sérieux. Elle rage, rumine et mène son enquête toute seule. Kurt tient sa fille au courant de son enquête mais ce n'est que quand des noms communs aux deux enquêtes se croiseront qu'il fera le lien et intègrera sa fille. Deux églises brûlent et dans l'une d'elles on trouve une morte étranglée avec une drisse. (Bof! Y a même pas de sang!) Linda réapparaît mais est bizarre. Elle était partie à la recherche de son père disparu depuis plus de 20 ans. Et c'est au tour du Zèbre, une amie commune, de disparaître... et Linda aussi. Grâce à sa débrouillardise, Linda permettra à son père de la retrouver avec le Zèbre. Linda sera tuée accidentellement par son père qui n'est autre que le chef d'une secte, le meurtrier, (avec un disciple pour les basses besognes) ... et le rescapé du début. Les deux sont en
cavale... pour un autre polar, j'espère. Quand Kurt a peur, il a la migraine... Linda, bien que ressemblant à son père, varie en ayant la cagarelle verte.
L'imagination faiblit et la traductrice commet beaucoup de fautes... L'usure ?
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médée66
(173 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Mystère et Policier
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Édition : Seuil Point, 2005, 487 p.
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8/1/2009
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Mankell, Henning
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« Tel père, telle fille. »
Dans la famille Wallander, je ne demandais rien. Rien de plus que l'inspecteur fatigué, usé mais tenace. Et je m'inquiétais un peu de l'intrusion de sa fille dans cette histoire. Et là, je suis heureusement surprise et dans le même temps, avec Mankell, je n'aurais pas dû m'inquiéter. Car tel père, telle fille, et pour l'instant, la rencontre entre les deux individualités est enrichissante. Ils sont si semblables avec leur caractère grincheux, le père et la fille, leurs nerfs à fleur de peau, et si différents en même temps. L'histoire familiale leur colle à la peau et entrave tout rapport simple entre eux. Cela dérape vite. Et quand il s'agit d'enquêter côte à côte, ce n'est pas simple non plus. L'un et l'autre fonctionnent à l'instinct, défendent leur territoire respectif, d'où des conflits. Sans oublier l'intrigue. Là encore, Mankell fait fort. Et avec beaucoup de talent et de subtilité. On ne peut pas en dire plus sans risquer de déflorer le sujet. C'est une histoire de secte. C'est le passé qui entrave l'avenir. Et toujours la désespérance des sociétés de consommation qui usent les consommateurs jusqu'au bout de leurs rêves et de leurs croyances. Et Mankell nous conduit jusqu'au bout de la nuit. Pas question de lâcher le bouquin avant la fin. Et j'attends la suite avec impatience. Et sans crainte. Contrairement à beaucoup d'autres auteurs, avec le temps, le désir reste au vif tandis qu'avec d'autres auteurs (Patricia Cornwell par exemple), la lassitude l'emporte.
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channe01
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Genre : Mystère et Policier
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Édition : Seuil, 2005, 442 p.
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| | | Date :
9/1/2005
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