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Van Cauwelaert, Didier 
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Synopsis:
Un écrivain harcelé par l'étudiante qui lui consacre une thèse; un peintre qui s'accuse de tuer les femmes à distance avec ses pinceaux; une maison qui envoûte jusqu'à la folie ceux qui s'y attachent... Faut-il résister à l'attirance? Et si l'on y cède, est-ce pour se fuir ou pour se retrouver? Liées par un même secret, trois passions vénéneuses où culmine le talent d'un des plus grands auteurs français d'aujourd'hui.
Mon commentaire:
Ce roman me laisse un sentiment étrange: d'un côté, la nouvelle est un genre de littérature que j'apprécie peu. Ces trois histoires m'ont laissée une sensation d'inachevée, l'envie d'aller plus loin, d'en savoir plus...notamment pour la première histoire, celle de l'Académicien. Cependant, les 3 histoires s'imbriquent très bien entre elles et pourraient presque, au final, faire croire à un seul roman. Le style de Van Cauwelaert est bien présent, une prose travaillée, agréable à lire mais qui ne se résout pas à la simplicité. Il nous fait rentrer dans l'univers de ses personnages avec efficacité. En résumé, une bonne lecture, avec du suspense, des sentiments, de l'introspection, mais qui ne me restera certainement pas gravée...
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anne_c44
(4 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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Édition : Le livre de poche, 2005, 219 p.
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6/1/2009
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Van Cauwelaert, Didier
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Didier Van Cauwelaert est un garçon charmant, plaisant aux dames. Je n'arrive pas trop à le prendre au sérieux. Chacun de ses livres (du moins ceux que j'ai lus) me laisse une impression de bulle de savon. C'est léger, léger, bien écrit et éphémère.
Attirances nous présente trois cas d'envoûtement, avec un fil conducteur plutôt tordu. Même dans le paranormal, notre gentil ami nous mène par le bout du nez.
Mais on ne sait pas très bien où.
Un brin de poésie, un zeste de dépaysement, un fifrelin de passion.
Pas de quoi faire un grand livre.
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Guy Capelle
(559 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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Édition : Albin Michel , 249 p.
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| | | Date :
2/1/2006
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Van Cauwelaert, Didier
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Ce livre pourrait être qualifié de recueil à trois nouvelles longues ou encore de recueil de trois miniromans. En fait, je suis un peu dépourvue de mots pour décrire ce que ce livre a produit en moi. Autant il nous laisse un sentiment étrange, autant nous sentons que le talent de l'auteur atteint ici un sommet.
Donc, trois histoires : celle d'un écrivain en panne d'inspiration qui est harcelé par une étudiante qui écrit sa thèse sur lui; d'un peintre qui affirme avoir tué les deux modèles de ses deux derniers tableaux alors qu'aucun corps n'est retrouvé, aucune trace, rien; et finalement, d'une maison qui ne veut pas mourir et qui envoûte tous les hommes qui s'y aventurent. Trois histoires d'attirances auxquelles on ne peut résister.
Toutes les histoires sont liées par un secret, par quelques personnages, mais je crois qu'elles auraient bien pu être lues seules aussi. Une chose est certaine, c'est que le talent de l'auteur, la justesse de son écriture, ses personnages étonnants dans leur simplicité, le tout mis en commun ne peut que produire une chose : l'attirance des lecteurs affamés de Cauwelaert!
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Dytal
(516 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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Édition : Albin Michel, 248 p.
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| | | Date :
12/1/2005
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Livre(s) de Didier Van Cauwelaert critiqué(s) sur le Guide
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En ligne : 31271 visiteur(s)
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