Plus de 15 000 critiques à consulter !
Recherche :
Cliquez ici pour retourner à la page d'accueilLe Guide de la Bonne Lecture 
« Il faut être seul pour lire une page que l'on aime » -- Henri Lacordaire
Nouveautés
Bouquinet
VOS LIVRES COUPS DE COEUR
Forum de discussion
QUIZZ
LIENS
100 DERNIÈRES CRITIQUES AJOUTÉES
Écrivez votre critique
 

Par genre
Arts et littérature
Bandes dessinées
Biographie
Classique littéraire
Enfant
Ésotérisme
Essai
Faits vécus
Fiction
Histoire, Géographie et Politique
Horreur
Humour
Jeunesse
Langue et linguistique
Le livre ou le film?
Littérature érotique
Mystère et Policier
Philosophie, religion et spiritualité
Poésie
Psychologie et Sociologie
Romance
Roman historique
Science
Science fiction et Fantaisie
Théâtre
Vie pratique
Voyage et Tourisme

Liste par auteurs
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z

Liste par titres
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
1
2
3
4
5
6
7
8
9


Critique sur
les auteurs
Portrait
d'auteurs
Les auteurs
sur le net
Pseudonymes

infos
Contacts
Recherche
Plan du site
FAQ
Ajouter un lien vers le Guide depuis votre site

 
Alcools
5 étoiles

    Apollinaire, Guillaume  lister les titres de cet auteur 
  C’est, je pense, un des plus beaux recueils de poèmes qu’il ait écrit. Il est composé de textes écrits en 1901 et en 1902 pendant son séjour en Rhénanie et ses espoirs amoureux de l’époque. Mais il en est d’autres qui datent de 1912. L’impression générale qui s’en dégage relève de la mélancolie. Il y parle du temps qui passe, des amours, de la beauté de la vallée du Rhin. Certaines de ces œuvres prennent des allures classiques, alors que dans d’autres, il adore rompre les rythmes, jouer des vers à rimes et des vers libres. Pour lui, toutes les tendances sont bonnes et il adore puiser alternativement dans les unes ou les autres. Il aime aussi mélanger les sujets au sein du même poème. À noter qu’il n’y a aucune ponctuation dans le poème qui suit :
« Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
La joie venait toujours après la peine
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure. 
»

Suggestion(s) de lecture :

Poèmes à Lou de Guillaume Apollinaire
  Hubert Viteux (225 critiques, cliquez pour les voir)
 
Genre : Poésie TOP
Édition : Gallimard, 1987, 139 p.
   Date : 7/1/2007 ajoutez votre critique


 

Livre(s) de Guillaume Apollinaire critiqué(s) sur le Guide

Alcools

 

En ligne : 30862 visiteur(s)




Liste des lecteurs
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z

recommander ce site
 



[Suggérez-nous un sondage]


 

 
up

hebdotop
Votez pour ce site