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 Le forum du Guide - Critiques de livres : Connexes à la lecture : Vos écrits
Icône du message Sujet: Nouvelle en ligne...si j'y arrive Répondre Nouveau sujet
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Patrick Delay
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Sujet: Nouvelle en ligne...si j'y arrive
    Envoyé : 06 janvier 2007 à 18:13
Valentin avait accéléré son allure.
Il regardait à droite à gauche, s’arrêtait soudain, semblait réfléchir, jetais un regard vers le groupe qui le suivait quelques trois cents mètres en arrière, puis repartait de plus belle.
Ce rythme se prolongea un bon quart d’heure.
Valentin s’arrêta, posa son sac à dos en sorti une bouteille d’eau, une barre de céréales et s’assit sur le sol en tailleur le regard fixé vers nulle part.
Elodie arriva la première, c’était une sportive, une fille de caractère qui n’avait vraiment pas froid aux yeux.
Elle interpela Valentin : « T’es malade ou quoi ? Qu’est-ce que tu cherches, j’ai presque eu du mal à te suivre, j’ai cru te perdre de vue alors que j’attendais les autres, les gosses sont crevés, Marie en a marre, Sophie traîne la jambe, Marc te maudit, Paul n’en pense pas moins et toi tu t’en fous !
Tu nous avais dit que nous serions rentrés pour quatre heures, il est presque cinq heures et tu es assis au milieu des bois après nous avoir largués… qu’est-ce qui te prends. »

Valentin, ne semblait pas l’avoir entendue.
Il répétait inlassablement à voix basse : « je connais cette forêt comme ma poche, je connais ces sentiers par cœur, qu’est-ce qui se passe ? ».

Elodie se planta devant lui, s’accroupie le secoua par les épaules.
Valentin la regarda, d’un regard évasif, puis se reprenant lui dit sur un ton agressif : « Quoi ? Que veux-tu ? »
Puis dégageant ses épaules de son étreinte quelque peu relâchée il se leva d’un bon, tel un diable qui sort de sa boite.
Elodie s’était reculée de deux pas, les poings serrés, l’air très en colère : « Tu ne m’as même pas écoutée, tu te moques de nous… »
Valentin coupa court à ses altermoiments « On tourne en rond, je suis perdu… »
« Tu peux répéter ? » reprit Elodie
« On tourne en rond, je n’y comprends rien, cela fait une heure que nous devrions être rentrés, nous étions à moins d’un kilomètre de la maison et puis le paysage m’est devenu de moins en moins familier, j’ai cru m’être trompé de chemin; pensant alors récupérer la bonne direction cinquante mètres ou cent mètres plus loin, cette forêt est quadrillée de sentiers et elle est bordée de champs…
Et non je n’ai pas retrouvé le bon chemin…
Je ne reconnais plus la forêt, j’ai remarqué des tas de choses étranges, l’absence de traces de tracteurs ou de motos depuis maintenant une bonne heure alors qu’auparavant je pestais tellement elles défiguraient les chemins, les chasseurs ont truffé la forêt de miradors et je n’en vois plus un seul, et cela fait aussi plus d’une heure que je n’ai pas vu un tas de bois laissé par les bûcherons…je n’y comprends rien.. »

Elodie resta bouche bée pendant deux bonnes minutes, le reste du groupe n’était plus très loin et on entendait pleurer les uns, râler les autres…
« Tu débloques ou quoi ?
Tu ne veux tout de même pas me faire croire que tu nous as perdus au milieu des bois.. »
« C’est ce que je me tue à t’expliquer, je suis aussi sérieux que toi tu es en colère je ne m’explique pas ce qui arrive. »

Le petit groupe était enfin arrivé, marie s’était laissé tomber par terre accompagnée de Sophie et des deux gamins, Hugo et Jade.
Paul suivi de Marc s’étaient rapprochés de valentin :
« Alors mariolle » dit Paul passablement énervé,
«Tu déconnes ou quoi ? ».

D’un geste, Elodie le fit taire, puis à voix basse pour que les gosses, Marie et Sophie n’entendent pas elle annonça :
« Valentin s’est perdu... il nous a perdus à moins d’1 kilomètre de la maison et il ne comprend pas comment ».

Valentin prit alors la parole, expliqua le paysage qu’il ne reconnaissait plus, les traces de tracteurs, de motos, qui avaient disparu et bien d’autres détails encore. Quand il eu fini, il s’aperçut de l’incrédulité qui se peignait sur le visage de ses amis, de plus Marie et Sophie s’étaient jointes au groupe et on pouvait déjà lire la peur sur leur visage.



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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 12 janvier 2007 à 15:48
C'est vraiment pas mal du tout cette petite nouvelle mais elle nous laisse un peu sur notre faim. Y-a-t'il une fin ? Une suite ?
J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
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Patrick Delay
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 12 janvier 2007 à 15:56
Honêtement je suis un peu en panne j'ai écrit ce texte pour essayer d'aider mon fils en français, je souhaitais qu'il lui trouve une suite, et c'en est resté là.
Maintenant il va falloir que je m'y mette mais si quequ'un veut la continuer je ne demande pas mieux
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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 13 janvier 2007 à 02:22
Je suis sûre que tu es capable de continuer cette histoire. Qui mieux que toi-même ?
J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 13 janvier 2007 à 04:16
Message posté par Antigone

Je suis sûre que tu es capable de continuer cette histoire. Qui mieux que toi-même ?


c'est gentil de m'encourager, cela me donne une motivation, je vais essayer de m'y remettre.

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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 14 janvier 2007 à 08:03
Pendant une poignée de secondes, une éternité, nos amis restèrent suspendus aux lèvres de Valentin.
Marie se mit à murmurer, sans que l’on puisse distinguer ses propos, puis sa voix se fit plus intelligible, le ton montant graduellement.
« Nous sommes perdus, Nous sommes perdus, Nous sommes perdus, Nous… »

« Tais-toi !» s’écria tout à coup Elodie.
Puis se retournant vers Valentin,
« Que fait-on maintenant ? »

Le ton de sa voix était autoritaire mais calme, elle voulait une réponse immédiate mais semblait vouloir faire confiance à Valentin.
Les autres, debout derrière elle, attendaient, le regard figé. Sophie était pâle à faire peur, des larmes coulaient sur les joues de Marie.

Valentin se ressaisit. Un rapide coup d’œil à ses amis lui permit de prendre la mesure de la situation.
« Suivez moi, Elodie avec moi, Marc tu ferme la marche ; si quelque chose ne va pas tu gueule un coup ; on presse le pas. »
Puis indiquant du doigt un chemin qui se dessinait sous les hautes futaies, sur sa gauche, il ajouta :
« Tout droit par là, dans vingt minutes on sera au bord du plateau qui surplombe le village. » « On y va. »

Le groupe s’ébranla et marcha en silence. On entendait le bruit des feuilles froissées, les cris de quelques oiseaux de-ci, de-là, les reniflements de Marie qui ravalait ses larmes. Curieusement les enfants étaient calmes. Hugo, le plus grand, âgé de neuf ans marchait derrière Marc son père, trottinant de temps en temps pour ne pas se laisser distancer ; Jade sa sœur, de deux ans sa cadette, juchée sur les épaules de Marc, se laissait balloter sans mot dire. On aurait dit que les deux enfants sentaient soudain la gravité de la situation, Marie, leur mère, suivait, presque silencieuse et Sophie précédait Paul. Le groupe restait serré.
Tous avaient hâte d’arriver au bout du chemin.

Au bout de cinq minutes Elodie interpella Valentin :
«Je ne comprends pas, tu te disais perdu mais finalement tu te diriges sans hésitation vers l’extrémité du plateau qui surplombe le village, t’as voulu nous faire une blague ou quoi ? »
Elle avait parlé à voix basse, seul Valentin pouvait l’avoir entendue.
« Si arrivant dans ta rue, tu ne reconnaissais plus ta maison, tu ne serais pas perdue, toi ? »
Valentin avais parlé d’un ton très calme mais ses propos n’étaient pas pour rassurer Elodie.
« Comment ça si je ne reconnaissais pas ma maison ? »
« Cette forêt je la connais par cœur, il ya une heure quand nous sommes arrivés à l’extrémité du plateau, là ou nous retournons maintenant, j’ai vu le clocher de l’église du village… »
« Et alors, merde, c’est ce qu’on voulait, rentrer au village.. »
« Laisse moi parler… normalement on ne peut pas voir le clocher, les maisons construites à flanc de coteau le masquent, mais là il n’y avait pas des maisons. »
« Tu t’es trompée, on ne devait pas être exactement à l’endroit où tu pensais être, en un lieu un peu décalé d’où on peut voir le clocher… gros nigaud…les mecs tous pareils, trop sûr d’eux et dès qu’il y a un petit grain de sable, ils s’imaginent le pire, ils sont perdus. »
Valentin sourit, un peu forcé, mais en lui-même il ne croyait pas en cette hypothèse, mais qui sait, il se trompait peut-être, c’est ce qu’il souhaitait le plus, à cet instant.

Le petit groupe se rapprochait de la lisière de la forêt.
Valentin s’arrêta, Elodie à ses côtés.
« C’est là, à vingt mètres, derrière ces buissons, on devrait voir le village. »
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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 14 janvier 2007 à 09:22
Palpitant Patrick !
A suivre ?
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 14 janvier 2007 à 09:40
Message posté par Antigone

Palpitant Patrick !
A suivre ?


Oui à suivre, je n'ai plus le choix, j'ai une lectrice.
A propos il y a une nouvelle commune qu'il faudrait faire avancer, je crois être le dernier à y avoir mis la patte, par contre là je ne peux pas me succéder à moi-même, ça n'aurait plus aucun intêret.

Il y a aussi des charades qui attendent désespérément une réponse, bref plein de choses à aller voir, à compléter, à commenter...

Bonne fin d'après midi.

A +
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 15 janvier 2007 à 06:08

PAGE 3/Je ne sais pas combien.

Elodie dépassa Valentin et se précipita à l’endroit indiqué.
« Je vois le village ! » Lança-t-elle à l’intention de Valentin
« Je vois le village, les maisons, les cheminées qui
fument… »
« Et le clocher de l’église… » Coupa Valentin qui venait de la rejoindre.
« Mon patelin, c’est environ deux mille cinq cents habitants, ça fait déjà un paquet de maisons ; il ya le vieux village et tout autour ça s’est construit, là, je vois l’église, une trentaine de maisons… c’est tout. »

Elle sortit sont téléphone.
« Qu’est-ce que tu comptes faire ? » lui demanda Valentin.
« Tu le vois bien je vais téléphoner »
« J’ai déjà essayé, ça ne marche pas » reprit valentin
« Moi aussi j’ai déjà essayé » rétorqua Elodie ;
« Tout à l’heure dans la forêt, mais maintenant que nous sommes face à l’émetteur, il ne devrait plus y avoir de problème… »
Elle se tut soudain… elle regardait le plateau en face, là ou aurait du se trouver l’émetteur ne se trouvait qu’un bois. Un coup d’œil à l’écran de son téléphone lui indiqua qu’il n’y avait pas de réseau. Elle rangea le portable.

Un village était là dans la vallée c’est tout ce qui comptait, au pire si ce n’était pas le bon, il y avait toujours le moyen de se faire rapatrier où de rentrer à pied par la route, ils n’étaient pas en mer, ils n’avaient pas pu dériver sur des dizaines de kilomètres.

Le reste du groupe les avait rejoints. Tous contemplaient le village, comme des naufragés qui aperçoivent un navire à l’horizon, à ceci près que pour eux, il ne s’agissait pas que le village les voit, non c’était à eux de s’y rendre... et s’il est difficile de marcher sur l’eau, descendre la colline ne serait l’affaire que de quelques minutes. Leur cas n’avait donc rien de désespéré.
Un sourire se dessina sur les visages et les enfants commencèrent à s’agiter. Jade voulait descendre et Hugo ne tenait plus en place.
Un sourire se dessinait sur leur visage sauf sur celui de Valentin, ce n’était pas un mauvais pressentiment qui assombrissait son visage mais bel et bien la certitude que ce village ne pouvait pas être l’un des cinq qui bordait le plateau, là où ils se trouvaient.

Elodie en tête, le petit groupe entama la descente. Valentin fermait la marche, un peu à la traîne, réfléchissant à ce qui pouvait bien les attendre, échafaudant des embryons de stratégies pour faire face à toute éventualité.
Il réfléchissait mais quelque chose d’indéfinissable s’imposait à son esprit, comme s’il connaissait la vérité sans pouvoir l’admettre.
Quelque chose de tellement énorme qu’il ne pouvait y adhérer sans voir son esprit chavirer, comme si nier l’évidence pouvait l’empêcher de prendre forme.

Elodie toujours en tête stoppa net le petit groupe.
Sur sa gauche à environ cent mètres une bâtisse imposante ceinte d’un mur de pierre se devinait derrière les arbres.
Elle appela Valentin.
Le groupe s’était arrêté si brutalement que Valentin avait bousculé Paul manquant de le faire tomber. Celui-ci avait grommelé quelque chose d’inaudible sur un ton très désagréable, en temps normal Valentin l’aurait certainement rabroué avec une formule du genre « Fais pas chier » mais là il n’y avait même pas prêté attention, s’excusant même avant de rejoindre Elodie.
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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 19 janvier 2007 à 13:51
La suite ?

J'ai hâte de pouvoir lire la suite. J'espère que tu as une idée de la fin à donner à cette histoire.
Il devient attachant ce petit groupe de personnes...
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 20 janvier 2007 à 04:44
Message posté par Antigone

La suite ?

J'ai hâte de pouvoir lire la suite. J'espère que tu as une idée de la fin à donner à cette histoire.
Il devient attachant ce petit groupe de personnes...


Je me demande si Valentin ne va pas se casser une patte, ou Elodie se casser tout court, histoire de me permettre d'y voir un peu plus clair. Ils pourraient aussi tous se réveiller après avoir fait un cauchemard collectif, type film série B.

A+

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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 24 janvier 2007 à 05:25
Et si la forêt leur avait jeté un sort ? Non ? Je trouve que ton récit vire au fantastique, plutôt !
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Citer whismerhill Réponsebullet Envoyé : 24 janvier 2007 à 07:34
Si je peux me permettre un petit conseil, je pense que c'est une erreur d'écrire sans savoir où tu vas. La mise en place d'une mystère requiert effectivement de laisser son imagination vagabonder mais à un moment, il faut la fixer et définir la fin prévue de l'histoire et échaffauder des péripéties autour.
Tu as la matière au mystère qui rend une histoire intéressante mais c'est maintenant que va se jouer la vie de ta nouvelle. Il faut que tu trouves une chute digne de ce nom. Je peux tout de suite te dire que la version cauchemar est très frustrante pour un lecteur. Je vote pour un bon bol de réflexion sur les possibilités...

Je cherche, promis ! ;-)
Ecrivaticien dans l'âme.
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Citer Antigone Réponsebullet Envoyé : 24 janvier 2007 à 09:20
Je suis d'accord avec whismerhill. Allez, Patrick, au travail !
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 24 janvier 2007 à 12:12
Message posté par Antigone

Je suis d'accord avec whismerhill. Allez, Patrick, au travail !



Merci à tous les deux. c'est très encourageant mais ça ne me donne pas la suite pour autant.

patientez un peu, j'essaierai de ne pas vous décevoir.

le coup du rêve c'est bon pour les gamins ou pour rire, je suis bien d'accord, j'ai une suite d'un page déjà écrite mais je la trouve un peu foireuse.
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Citer sci-fi girl Réponsebullet Envoyé : 25 janvier 2007 à 22:00
J'espère que l'inspiration sera au rendez-vous pour la suite de ton histoire. J'ai hâte de voir ça.
Lecture, une bonne façon de s'enrichir sans voler personne.
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 25 janvier 2007 à 23:42
Alors il faut vraiment que je m'y remette.
En fait j'ai déjà une suite sur deux pages mais elle ne plaît pas elle débouche dans une impasse, il faut que je reprenne tout ça.

Merci de votre intérêt, j'ai déjà trois lecteurs à ne pas décevoir.

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salamandre
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Citer salamandre Réponsebullet Envoyé : 24 octobre 2007 à 03:31
Evidemment que tu y arrives

Tiens, moi je viens d'arriver, c'est bien grand, y a du monde, je vais essayer de ne pas me perdre.

Très sympa cette nouvelle
S'il n'y a pas de musique dans les livres, il n'y a pas de livres. Marguerite Duras
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