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Vos écrits
 Le forum du Guide - Critiques de livres : Connexes à la lecture : Vos écrits
Icône du message Sujet: Mon livre Répondre Nouveau sujet
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Lindhell
Discret
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Depuis le: 23 septembre 2007 Status actuel: Inactif
Messages: 2
Citer Lindhell Réponsebullet Sujet: Mon livre
    Envoyé : 23 septembre 2007 à 09:24
Bonjour voilà je suis nouveau je vais vous proposé un début d etexte, je sais qu'il y a beaucoup de fautes je ne demande pas de corection d'ortographe sauf si vous voulez, je demande simplement vos avis, vos critique, ce que vous en pensser... Merci d'avance.
PS: je m'escuse pour mon poste dans "livre fantaisie/horreur/science fiction je 'navais pas vu ce topic avant.



Alors que le soleil se couchait, on pouvait deviner depuis la colline une petite maison faite de bois et surmontée d’un toit de paille. Un potager bordait l’habitation. Le terrain était délimité par une sorte de barrière de bois. Au loin on apercevait difficilement une lueur par la petite fenêtre qui donnait vu sur un misérable et piteux salon.
     Deux hommes se trouvaient sur la colline. On aurait dit qu’ils surveillaient la maison, prêts à agir. Le premier était très grand, robuste avec une barbe d’un noir sinistre, ridé, les yeux perçants et les cheveux ébouriffés. Le second était lui, plutôt maigrichon. Il faisait environ deux têtes de moins que son voisin, les yeux bleu clair. Tous deux portaient des habits sombres. Le plus grand, qui semblait être le chef, lança d’une voix rauque et forte :
- « Allons-y »
Les deux hommes se dirigèrent alors vers la petite demeure. Arrivés sur place l’un deux frappa à la porte, puis, ils dégainèrent leurs épées alors qu’une voix féminine répondait :
- « J’arrive »
Une femme ouvrit alors la porte, elle était brune avec de longs cheveux, une corpulence moyenne avec un air joyeux qui se figea soudain quand elle vit les deux hommes avec leurs armes. L’homme maigrichon, se trouvant prêt de la porte lui dit :
- « Laissez-nous rentrer, et nous ne vous ferrons aucun mal. »
Puis le second passa en bousculant la jeune femme. La maison était aussi pauvre à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il n’y avait que trois pièces, la chambre, le salon et la cuisine. Au moment ou le géant avait pénétré dans la maison, un homme plutôt robuste également sortait de la chambre. C’était un homme de taille moyenne, brun lui aussi, avec des yeux verts. Il tenait une épée à la main. Ayant entendu les bruit à l’entrée il avait accourue pour voir ce qui se passait, mais il venait de trouver la cause du problème. L’homme, peu âgé, avait pourtant l’envie de défendre sa femme. Mais on vit bien rapidement que ce n’était qu’un simple paysan et qu’il n’était pas fait pour le combat. L’ennemi se trouvant en face de lui s’approcha, et, en quelques coups d’épée, déstabilisa l’adversaire puis lui pointa l’épée à la gorge :
- « Tu n’aurais pas dû tenter cela, ton acte vas te punir ! » cria-t-il.
Pendant qu’il le maintenait toujours au sol avec la lame qui frôlait la gorge, l’autre amena la femme. D’après son état, il était sûr qu’elle venait de subir un abus sexuel. Puis pour punir le couple d’avoir voulu se défendre, les deux guerriers ordonnèrent au jeune homme de tuer sa femme sans quoi ils la feraient mourir à petit feu devant lui.
- « Nous avons toute la nuit » prévint le plus féroce des deux
Le mari, menacé, prit alors l’épée, regarda sa femme droit dans les yeux et lui dit :
- « Désolé pour vous deux… »
Puis brandissant l’épée, il se l’enfonça au niveau du cœur et mourût aussitôt. Les deux monstres n’ayant pas prévu cet acte, s’obligèrent à finir le travail puis ils firent brûler les corps en dehors de la maison. Le triste silence de la mort revint dans la maison jusqu'à ce qu’on entende un frottement, comme un meuble qui bougeait. Le bruit s’était fait dans la chambre. Cette fameuse chambre était composée de deux lits et d’une vieille armoire. L’armoire se mit alors à bouger, en sortit de derrière un jeune garçon qui s’était caché dans un trou du mur. Le jeune homme devait avoir environ une quinzaine d’années. A en juger par son apparence, c’était le fils du couple venant d’être assassiné. Il avait les yeux de son père, les cheveux longs, lui tombant dans le dos, de la même couleur que ceux de sa mère. Il était plutôt costaud pour son âge. Seulement maintenant il était seul, il s’en était bien rendu compte, mais aucune larme ne coulait sur son visage, seulement les traits de la haine et de la rage qui s’y dessinaient. Il fallait qu’il parte de ce lieu maudit, ce qu’il fît. Mais avant, il ramassa les cendres de ses parents qui finissaient a peine d’être consumés, les mis dans une petite boîte qu’il garda précieusement vers lui. Après avoir ramassé ses affaires et des provisions, il pris alors une bougie qui était restée allumé, et mis le feu à la maison. Il s’en alla sans se retourner en direction d’une route encore inconnue…
L’aube se levait, le garçon avait marché toute la nuit, épuisé il s’effondra sur le sol, il se trouvait en lisière de forêt. Quand il se réveilla, il entendît des voix. La fatigue ne lui facilitait pas la tache pour ouvrir les yeux mais avec peine, il réussi à les entrouvrir. Il distingua quelques hommes mais sa vision était trouble. Il se sentit alors voler pendant quelques secondes il croyait être au paradis quand il se rendît compte que ces hommes n’était pas là pour l’aider.
-« Il fera une bonne affaire » dit l’un
-« et si on le gardait pour nous ? Il pourrait nous servir si il manque quelqu’un, regardez sa corpulence » dit un second avec une voix enthousiasme.
-« Non ! Nous avons besoin d’argent, nous le vendrons à cet homme, qui recherche tous le temps des jeunes, je suis sur qu’il nous en donnera un bon prix. » Dit le premier homme « Aller on l’emmène. »
C’est à ce moment là, qu’il comprit que ces hommes étaient une sorte de marchands d’esclaves, du même statu social que lui et qui par n’importe quel moyen cherchaient à acquérir de l’argent. On le ligota à un rondin de bois, pendu comme un animal. Après plusieurs heures de marche, ils arrivaient dans une ville, il y avait beaucoup de monde. A chaque coin de rue on pouvait apercevoir des mendiants.
-« c’est par là » cria un garde
Arrivé sur la grande place, on attacha tous les prisonniers à des poteaux de bois, pour ne pas qu’ils s’enfuient. Tous comme lui, il y avait plein d’autres gens qui s’étaient fait capturer. Quelques jeunes, mais principalement des adultes.
-« Allez y choisissez les ! Des bon prix ! Regardez comme ils sont bien battit ceux la », dit l’un des marchands en tapant sur les épaules d’un prisonnier.
-« Je t’en donne cinq milles pièce d’or pour ces trois la ! » dit un homme en montrant le jeune garçon et deux autres jeune à coté.
-« Allons ! Ce sont des jeunes quand même il sont robustes et on de l’énergie à revendre ! Six milles pièces d’or ! » Dit le vendeur.
-« D’accord, mais je veux un chameau avec. » Dit-il, visiblement il ne voulait pas lâcher l’affaire.
-« Esclaves vendus ! Voyez avec mon assistant pour payer, nous vous ferrons parvenir le chameau directement chez vous. »
L’homme qui venait d’acheter les trois esclaves, était petit, avec une barbe et les cheveux blancs. Il se faisait vieux. Il pris alors les garçons a part et leur demanda :
-« quel sont vos noms ? » Puis il regarda le jeune qui avait perdu ses parents
-« moi ? » dit-il enfin « je m’appelle Ibomak ».
-« moi c’est Kéar, et lui c’est mon petit frère, Elomir. » dit le second en montrant son jeune frère.
-« Bien, désormais vous serez sous mes ordres, je vais vous conduire dans ma villa. Ah et nommez moi Maître. Suivez-moi ! »
Puis il se retourna et parti en direction de sa fameuse Villa.
Malgré leur fatigue, Ibomak, Kéar et Elomir durent marcher pendant deux heures avant d’arriver à destination Arrivés, ils furent tous autant étonné, tous trois se tenais devant deux grande porte et quand le vieillard qui venait de les acquérir ouvrit les porte, ce qui ressemblait au paradis de l’extérieur n’était en fait que l’enfer. Il y avait tellement de jeunes de leur age, que les compter aurait été trop long. Ces jeunes étaient en train de se battre, avec des épées en bois, des boucliers… c’était en réalité un camp d’entraînement, Puis un gong retentit et ce fût à ce moment que le plus impressionnant se passa. Tous les enfants lâchèrent leurs armes, les quelques un qui était dans les bâtiments en sortirent et se mirent tous en plusieurs lignes attendant la parole du Maître. Le silence total régnait.
-« Bien le bonjour mes loyaux sujets. Je vois que le combat est toujours aussi rude ! J’espère que vous ne vous êtes pas fait remarqués, mes gardes me le diront et vous serez punis comme il se doit. Bien maintenant, je vais vous présenté vos nouveau compatriotes, j’ai parcouru plusieurs villes et j’ai trouvé un cinquantaine de nouveau soldats ! C’est pourquoi je vais vous rappeler vos devoirs. »
-« Il nous le fait à chaque fois on à compris… » Dit un jeune en chuchotant.
Seulement un garde se trouvait derrière et quand il entendit ça, le garde le projeta au sol et sortit son fouet. Ibomak fût outré mais les autres n’avaient pas l’air d’être dérangés, on aurait dit une habitude.
Après s’être faire fouetter, le garde lui dit :
-« Privé de repas ce soir et de main midi. » Puis il retourna à sa place.
Le jeune qui saignait avait peine à se lever et à tenir debout. A en juger par l’apparence des autres, il n’était pas le seul à se faire fouetter.
-« Voici un bon exemple pour les nouveau ! Donc, je vais vous expliquer où vous êtes, ce que vous devrez faire à partir de maintenant. Ici vous êtes chez moi ! Vous êtes mes esclaves et je fais ce que je veux de vous ! Vous vous entraînerez ici au combat, vous deviendrez des soldats qui pilleront les villages. Notre but à tous est de nous enrichir, je serais votre instructeur vous serez mes combattants. Nous pillons des villages deux à trois fois par semaines. Quatre villages au minimum pillés par soir. Personne ne peut nous résister ! Et rien ne sert de vouloir s’échapper et d’aller nous dénoncer au roi, car nous avons des arrangements avec. La prochaine attaque sera dans trois jours, entraînez vous un maximum. Les nouveaux je vais vous montrez vos chambres et vos tenue. »
Ibomak le suivi alors, accompagné de la cinquantaine de jeunes. Ils prirent alors un long couloir. Des portes étaient alignées sur environ huit cent mètres.
-« Cinq par chambre ! Je veux dix groupes dans une minute ! »
Tout le monde s’activa alors et rapidement dix groupes se formèrent en rangée devant chaque porte.
-« Vos tenues sont sur les lit, Habillez-vous de suite, dans cinq minutes je veux vous voir dans la cours ! »
Ibomak entra alors dans la chambre, cinq lits étaient alignés, et une grande étagère était placée prêt de la porte. Aucune fenêtre. Ibomak s’approcha du lit qu’il venait de choisir et s’habilla. La tenue était composée d’un tee-shirt et d’un short blanc. Une épée et un bouclier en bois était posé a coté de la tenue. Ibomak les prit et sortit.
-« mettez vous en file nous allons vous testés » dit l’un des gardes.
     Aussitôt ils s’exécutèrent. Pour les tester, les gardes avaient demandé à un autre jeune qui apparemment était très fort de se mettre en face d’eux et un par un ils passaient.
     «-« Il y a trois catégories » continua le garde. « Très bon, bon ou mauvais. Allez y commencez ! »
Puis un par un ils défilèrent on entendait des bons, des mauvais, encore des mauvais puis des bon… enfin ce fut le tour à Ibomak. Celui n’avait beau être qu’un paysan, il était très douer. Il réussi à désarmer son adversaire et à le mettre à terre. Pour lui ça n’avait rien d’extraordinaire mais tous les autres s’arrêtèrent. Car le jeune qu’il venait de combattre était considéré comme le plus fort de tous. Puis au bout d’un certain temps, le garde cria :
-« Très bon ! »
Puis toute la journée, l’entraînement intensif continua. Il n’y avait que deux poses de dix minutes par jours, sans compter le temps des repas. Les trois jours passèrent rapidement. A l’aube, tout le monde était prêt pour marcher jusqu'à leur cible. Il y avait quatre groupes mélangeant toute catégorie. Ce fut pendant les entraînements qu’on se rendit compte qu’Ibomak était fort. Chaque attaque ne se passait que la nuit, pour surprendre l’adversaire.
La nuit tomba, et non loin on voyais la troupe de jeunes qui ne bougeait pas, à attendre le signal. Enfin le signal arriva et la, ce fut une horde de combattant qui se déversa sur la paysage fonçant à toute allure sur le village. Arrivés aux portes du village, ils enfoncèrent la porte. Portant une armure, il ne pouvait êtres reconnus. Bien entendu, le meurtre était autorisé en cas de légitime défense, le but principal était de piller, pas de tuer.
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