L'intègre Montalbano confronté à un crime inexplicable. Une ravissante jeune femme est découverte assassinée dans une maison isolée. Les autorités veulent faire porter le chapeau à un simplet. L'enquête sera même confiée à un flic pourri. La mafia montre le bout du nez en la personne d'un avocat manipulateur.
L'intrigue un peu complexe ne cache pas l'amour de l'auteur pour la Sicile. La dénommée Livia, l'amie en titre de Montalbano, se fait plus discrète que dans le livre précédent (Le voleur de goûter).
Une réussite de plus pour Camilleri.
Une traduction toujours aussi fine.
Pour connaître le rôle du violon, lisez le livre.