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scorpion (Le), tome 1 - La marque du Diable
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Marini, Enrico et Stephen Desberg
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Dessin sans beaucoup d'originalité, thématique sans beaucoup d'intérêt, ce premier tome d'une nouvelle série n'a pas retenu mon attention. L'idée de départ n'était pas mauvaise : la notion du bien et du mal aurait été « inventée » par de riches Romains, en utilisant le premier pape pour l'implanter dans la chrétienté. Le but : obtenir une foule obéissante, permettant aux conjurés de neuf familles puissantes de conserver richesse et pouvoir. Les femmes sont accusées de sorcellerie et brûlent sur le bûcher, ou alors ce sont des bohémiennes empoisonneuses. En lisant ce titre, j'ai pensé à Zorro et à toute la sympathie que j'ai eue pour Antonio Banderas dans la version comique. Le scorpion, bien que clairement le héros ici, ne m'a pas paru tellement sympathique. Peut-être l'intrigue est-elle mieux développée au cours des albums à suivre, mais pour le moment, le premier des quatre albums parus n'a pas réussi à m'intéresser suffisamment pour que j'aie envie de lire les suivants.
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Libellule
(63 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Bandes dessinées
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Édition : Dargaud, 2001, ISBN : 2871293724
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| | Date :
9/1/2004
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scorpion (Le), tome 1 - La marque du Diable
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Marini, Enrico et Stephen Desberg
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« Le loup, le scorpion distinguent-ils le Bien du Mal? » Dès la première page, la question est posée. Le bel escrimeur à la barbiche noire et à la chevelure retenue par un catogan a bien trop de charme pour n'être que la créature du Diable qu'il prétend être. Sa mère est morte sur le bûcher comme sorcière, et son fils porte sur l'épaule la marque de l'infamie : un scorpion! Bien qu'il gagne sa vie en pillant les tombes et en revendant des reliques et autres trouvailles au grand monde, on sent que ce personnage est plus raffiné qu'il n'y paraît et surtout, qu'il est épris de justice.
Le dessin et les couleurs nous laissent entrevoir un univers plein de vie et de secrets : le lecteur est littéralement embarqué dans un film de cape et d'épée se déroulant à Rome. Dès ce premier album apparaissent les deux principaux ennemis du Scorpion, la mystérieuse empoisonneuse égyptienne et le cardinal Trebaldi, imbu de pouvoir, qui n'est pas sans nous rappeler un autre célèbre cardinal français! Les deux auteurs ont dû lire assidûment Dumas lorsqu'ils étaient petits!
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Christelle Divry
(832 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Bandes dessinées
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| | Date :
8/1/2004
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Livre(s) de Enrico Marini critiqué(s) sur le Guide
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En ligne : 687 visiteur(s)
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