Hercule Poirot contre une bande des quatre qui tente d'instaurer une dictature sur le monde entier. Agatha Christie joue à s'inspirer de Conan Doyle.
Hélas, elle est la seule à s'amuser. Plus qu'un roman, il s'agit d'une esquisse de roman que l'auteur n'a pas approfondi pour une raison quelconque. Le texte est bâclé, l'intrigue ne suscite aucun intérêt, les péripéties et la conclusion se devinent largement à l'avance. Holmes et son
créateur peuvent dormir tranquilles, Poirot et cette chère Agatha sont ici de bien pâles concurrents.
Tout cela est strictement sans intérêt. La grande Agatha n'a pas écrit que des petites merveilles.
Un livre à oublier vite, notamment si on aime l'auteur.
Encore une fois, Agatha Christie nous dévoile son savoir-faire pour nous inviter à lire avec délice chaque page de son livre intitulé Les quatre.
Comme d'habitude, on y retrouve notre petit détective belge, Hercule Poirot, ainsi que son ami le capitaine Hastings revenu d'Argentine pour faire une visite surprise à son vieil ami.
Tout au long de cette aventure palpitante, Poirot devra faire face à la plus grande conspiration qu'il ait jamais eu à affronter. En effet, il devra lutter contre quatre mystérieux personnages qui lui demanderont encore une fois d'utiliser tout le génie de ses cellules grises.
Un livre dont on ne peut pas quitter les pages de la première à la dernière.