Un revers de fortune laisse Jocelyne et sa famille complètement démunies. Heureusement
survient un héritage de la mère de Jocelyne : un somptueux manoir ancestral dans l'Essex.
Installée à Belheddon Hall, Jocelyne découvre avec stupeur que, peu de temps avant sa
naissance, ses deux frères sont morts accidentellement au manoir. Les avertissements
persistants des villageois et des manifestations surnaturelles qu'elle est seule à percevoir la
convainquent qu'un esprit maléfique menace la vie de ses fils et de son mari. Soupçonnée de sorcellerie, elle devra affronter le fantôme du roi Edward IV revenu des ténèbres animé par la haine et la vengeance.
Que dire de plus... j'ai dévoré ce livre du début jusqu'à la fin.
J'ai terminé un bon roman de Barbara Erskine; très bon et très captivant. C'est une jeune fille
qui a hérité du château Bellethon Hall, « demeure de sa mère décédée ». Elle et son mari vont visiter la demeure et décident enfin d'y habiter car le mari a perdu son emploi. Rendu
dans leur nouvelle maison, le mari décide de s'ouvrir un garage. Peu de temps après, la femme
constate qu'il y a des bruits étranges et son fils fait des cauchemar tous les soirs. Le mari
et sa sur la croient un peu hystérique; seul son ami Marc la croit et lui apporte des livres
sur le château. Il arrive des accidents comme la mort du pasteur
venu exorciser la demeure et la mort de la servante d'église. Lorsque le
couple revient de son voyage en France, il apprend le terrible accident du
pasteur et l'incident de sa sur qui était restée enfermée dans une chambre. Une voyante vient le lendemain pour exorciser la demeure et tout le calme et le bonheur se sont abrités dans la demeure et les fantômes sont enterrés en paix.
Suite à des recherches pour retrouver ses parents, Jocelyne hérite
d'un château. Étant donné que son mari se retrouve sans emploi,
ils décident d'y emménager. Mais il semblerait que le château soit
déjà habité... peut-être par un fantôme. Intrigue assez bien
ficelée, très vite au début on est captivé par l'histoire. Mais arrivé
vers le milieu, c'est répétitif, et la fin m'a laissée perplexe.