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Follett, Ken 
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1866. Un jeune élève se noie dans un collège. Plusieurs garçons sont témoins et cet « accident » changera leurs vies. On suit Edward Pilaster, héritier richissime des banques Pilaster, et son cousin pauvre Hugh tout au
long de leur parcours parsemé de luttes impitoyables pour s'assurer le contrôle de la banque.
Tout au long de livre, c'est enrageant car on a toujours l'impression que les mauvais ont l'avantage. Le personnage de la mère d'Edward, Augusta, est incroyablement tortueux, malhonnête et méchant et elle arrive toujours à ses fins, ce qui est vraiment fâchant. C'est un livre de 500 pages et ça s'arrange un peu et encore, dans les cinquante dernières alors il faut être patient.
J'ai vraiment adoré ce livre même si je détestais bien des personnages!
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Marie-Josée Bergeron
(140 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Roman historique
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10/1/2003
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Follett, Ken
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auteur extraordinaire que Ken Follett! Pour ceux et celles qui ne l'ont pas encore lu et qui apprécient notamment le genre historique, précipitez-vous vers ces romans pleins de suspense et de rebondissements inattendus, vous ne serez pas déçus. Avec La marque de Winfield, le lecteur accoste dans l'Angleterre victorienne, durant la période 1866-1892. Pendant leurs études au collège de Winfield, des élèves sont témoins de la noyade d'un de leurs camarades, Peter Middleton. C'est à partir de ce jour de l'année 1866 que se trouvent liés le destin d'Edward et Hugh Pilaster, d'une riche famille de banquiers. Le premier doit hériter de la fortune de son père, associé de la banque Pilaster. Le second est un cousin pauvre dont le père a fait faillite et qui est simplement toléré par le reste de la famille. Il y a aussi le beau et manipulateur Micky Miranda, fils d'une riche famille sud-américaine, ami intime d'Edward, très proche des Pilaster. Que s'est-il réellement passé au cours de ce jour d'été 1866? Cela, on le saura plus tard, mais tout au long de l'histoire, des personnages apparaissent, des indices refont surface, l'intrigue se noue page après page, chapitre après chapitre.
Cette histoire m'a réellement emportée et m'a permis une excellente évasion. J'ai trouvé l'intrigue savoureuse et Ken Follett atteint ici un niveau de quasi perfection dans la psychologie des personnages. Hugh est réellement attachant et j'en suis venue à réellement détester Micky Miranda. Le dénouement est inattendu et surprenant. J'ai adoré et je ne calmerai ma faim de Follett qu'après avoir lu ses autres romans (j'ai déjà lu Les piliers de la terre et Les chemins de la liberté). En espérant qu'ils sont aussi savoureux que La marque de Winfield.
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Véronique J. Laliberté
(84 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Roman historique
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| | | Date :
5/1/2002
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Livre(s) de Ken Follett critiqué(s) sur le Guide
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