Le quatrième de couverture disait: «Politique, elle exprime la révolte d'une femme et d'un peuple. Dans l'Algérie des années 80, saccagée par la
corruption et le fanatisme...»
Je n'ai pas eu la patience de chercher entre les lignes si ça y était. Jusqu'à la page 77, ce n'est que l'amour passion d'une femme soumise à un machin silencieux, péremptoire et énigmatique. Le grand amour littéraire n'est vraiment pas mon truc.