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Bourguignon, Stéphane 
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J'ai terminé hier soir le premier roman de Stéphane Bourguignon. Ceux du Québec le connaissent entre autres par le biais de la télévision puisqu'il a scénarisé La vie la vie.
J'avais lu et tout autant apprécié son second roman (dans le cadre d'un cours sur la littérature québécoise de 1960 à nos jours), Le principe du geyser. Ils reflètent tous deux une vision de la réalité en ce qui concerne les relations amoureuses entre les hommes et les femmes de la jeune trentaine. Je n'oserais pas dire que cela s'applique à toutes les cultures, mais cela pointe avec brio la culture québécoise. Comme si la recherche de notre identité culturelle, et sa reconnaissance, faisait de plusieurs générations des « perdus » affectifs. L'humour est très présent et efficace, les personnages sont attachants par leur véracité et juste ce qu'il faut de détresse; bref on le lit avec avidité.
La fin n'est peut-être pas conseillée aux femmes enceintes... mais bon, il ne faut pas perdre de vue que c'est de la fiction.
« Julien, en deuil de Florence, se jure que jamais il ne retombera dans le piège des femmes. Mais voilà : à 26 ans, on a souvent tendance à surestimer ses forces. Tout comme Pierrot, son meilleur ami, il repiquera du nez dans l'amour... »
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Stéphanie Racette
(26 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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Édition : Québec Amérique, 1993, 240 p.
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| | | Date :
11/1/2002
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Bourguignon, Stéphane
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J'ai terminé hier soir le premier roman de Stéphane Bourguignon. Ceux du Québec le connaissent entre autres par le biais de la télévision puisqu'il a scénarisé La vie la vie.
J'avais lu et tout autant apprécié son second roman (dans le cadre d'un cours sur la littérature québécoise de 1960 à nos jours), Le principe du geyser. Ils reflètent tous deux une vision de la réalité en ce qui concerne les relations amoureuses entre les hommes et les femmes de la jeune trentaine. Je n'oserais pas dire que cela s'applique à toutes les cultures, mais cela pointe avec brio la culture québécoise. Comme si la recherche de notre identité culturelle, et sa reconnaissance, faisait de plusieurs générations des « perdus » affectifs. L'humour est très présent et efficace, les personnages sont attachants par leur véracité et juste ce qu'il faut de détresse; bref on le lit avec avidité.
La fin n'est peut-être pas conseillée aux femmes enceintes... mais bon, il ne faut pas perdre de vue que c'est de la fiction.
« Julien, en deuil de Florence, se jure que jamais il ne retombera dans le piège des femmes. Mais voilà : à 26 ans, on a souvent tendance à surestimer ses forces. Tout comme Pierrot, son meilleur ami, il repiquera du nez dans l'amour... »
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Stéphanie Racette
(26 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Romance
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Édition : Québec Amérique, 1993, 240 p.
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| | | Date :
11/1/2002
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