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apocalypse (L') - Nouvelle traduction
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Lebret, Jean-Louis
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J’ai choisi d’évoquer un nouvel auteur qui a effectué un travail pour le moins original : il a versifié l’Apocalypse de Jean. Le travail est pour le moins remarquable, de la rime à l’alexandrin, en passant par le sens ad literam du texte eschatologique. À l’initiale de ce récit se trouve une introduction qui, en elle-même, n’est pas extraite du livre sacré et, pour la lectrice que je suis, amatrice de belles-lettres et de pensées suggérant la réflexion, je dois avouer avoir été enchantée par cette entrée en matière. L’auteur s’est appuyé sur la Bible traduite de l’hébreu par Louis Lemaître de Sacy. Il n’est pas nécessaire d’être versé dans la religion pour apprécier ce recueil qui offre une approche lumineuse d’un récit pour le moins obscur. J’espère que le « liseur » de passage osera franchir le pas de cette lecture peu conventionnelle, tant il est rare de marier l’oecuménisme poétique à l’humanisme religieux.
Suggestion(s) de lecture : Parmi mes coups de coeur (dans le désordre) :
- Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos
- Mémoires d'un vieux dégueulasse de Charles Bukowski
- Lolita de Nabokov
- L'insoutenable légèreté de l'être de Milan Kundera
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Calligraphia
(première critique)
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Genre : Philosophie, religion et spiritualité
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Édition : L'Harmattan, 2007, 90 p.
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| | Date :
9/1/2007
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apocalypse (L') - Nouvelle traduction
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Lebret, Jean-Louis
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J’ai choisi d’évoquer un nouvel auteur qui a effectué un travail pour le moins original : il a versifié l’Apocalypse de Jean. Le travail est pour le moins remarquable, de la rime à l’alexandrin, en passant par le sens ad litteram du texte eschatologique. À l’initiale de ce récit se trouve une introduction qui, en elle-même, n’est pas extraite du livre sacré et, pour la lectrice que je suis, amatrice de belles lettres et de pensées suggérant la réflexion, je dois avouer avoir été enchantée par cette entrée en matière. L’auteur s’est appuyé sur la Bible traduite de l’hébreu par Louis Lemaître de Sacy. Il n’est pas nécessaire d’être versé dans la religion pour apprécier ce recueil qui offre une approche lumineuse d’un récit pour le moins obscur. J’espère que le « liseur » de passage osera franchir le pas de cette lecture peu conventionnelle, tant il est rare de marier l’oecuménisme poétique à l’humanisme religieux.
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Cassandre
(première critique)
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Genre : Philosophie, religion et spiritualité
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Édition : L'Harmattan, 2007, 90 p.
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| | Date :
8/1/2007
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