On retrouve avec plaisir Myron Bolitar et ses fidèles compagnons Win et Esperanza dans le milieu du basket féminin. Cependant quelques longueurs, du sentimentalisme, des clichés racistes et misogynes, en font un roman agréable mais sans plus! Il faudrait au moins une fois le rôle des personnages et donner plus de place au personnage de Win ce qui donnerait un rythme plus dynamique, plus cynique et plus dans l’air du temps….