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Rien ne vaut la douceur du foyer
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Clark, Mary Higgins 
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Le jour de l'anniversaire de sa femme, Célia Nolan, Alex Nolan offre à son épouse une superbe maison à Mendham. Il l'a choisie seul, pensant faire une surprise très agréable à sa femme. Or, c'est plutôt une mauvaise surprise car c'est dans cette maison que Célia, qui, à l'époque, s'appelait Liza Barton et était âgée de 10 ans, a tué sa mère Laurence par accident, voulant la défendre lors d'une dispute avec son mari Ted Cartwight. Liza fut acquittée du meurtre de sa mère et de la blessure infligée à Ted Cartwight, mais pour l'opinion publique, Liza était une enfant froide et calculatrice, et le meurtre de sa mère n'était pas un accident. Liza a été adoptée par des cousins de la famille et a changé de nom.
Le retour dans cette maison ravive donc de douloureux souvenirs, mais en plus, l'accueil est loin d'être chaleureux, car dès le premier jour, il est inscrit sur la pelouse de la propriété : « Danger ». Célia ou plutôt Liza n'a jamais parlé de son passé à son mari Alex et encore moins à son petit garçon Jack.
Célia commence à recevoir des coups de fil anonymes et se rend compte que quelqu'un a dévoilé son identité. Des personnes ayant un rapport avec la vente de la maison ou avec le passé de Célia vont être mystérieusement assassinées. À chaque fois, Célia va devoir prouver son innocence.
Peu à peu, Célia va retrouver la mémoire concernant des paroles prononcées par sa mère juste avant sa mort : ces paroles auraient un rapport avec les circonstances étranges de la mort du premier mari de Laurence, la mère de Célia.
Célia va peu à peu se rendre compte qu'elle n'est pas une criminelle et qu'elle a agi uniquement pour défendre sa mère.
Parallèlement, on va peu à peu découvrir qui est à l'origine des meurtres commis et de la machination dont Célia est victime.
Ce roman est riche en suspense et en rebondissements. C'est un roman qu'on a du mal à lâcher avant de l'avoir achevé. Un petit bémol pour le dénouement, qui est à mon goût un peu traité rapidement. Cela reste une bonne lecture.
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Sylvie Nigro
(5 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Mystère et Policier
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8/1/2006
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