Groucho Marx raconte ses intérêts supérieurs à rester dans son lit. Il développe une thèse avec humour sur l'importance du lit dans la vie et sur les différents types de « coucheurs » ou plutôt dormeurs. De nombreux jeux de mots se suivent et sont apparemment bien rendus en français (enfin il faudrait voir la version originale.)
J'ai trouvé que le ton était très léger et très raffiné sans une seule once de vulgarité. C'est un bon point pour cet opus. Mais je n'ai pas trouvé cela tellement drôle ! J'ai plutôt eu l'impression qu'il s'agissait d'un délire d'écrivain. Il faut dire que ce texte a été écrit en 1930 aux Etats-Unis, donc les circonstances d'après crise économique permettaient peut-être plus d'originalité... Je n'ai pas accroché à ce texte. Je vois plus cela comme un sujet traité avec beaucoup d'imagination sans queue ni tête. Je ne peux pas parler d'humour littéraire, mais bien d'humour au lit !