C'est la suite de Vacances anglaises, mais là, ça se passe dans le temps des fêtes. J'avais beaucoup aimé le premier et j'aime aussi beaucoup celui-ci. C'est toujours aussi drôle mais triste en même temps car ces pauvres gens sont complètement névrosés et ne semblent avoir aucune possibilité de s'en sortir. Je crois qu'il n'y a pas un seul personnage qui soit « normal » mais c'est très divertissant. J'aime bien que l'auteur mélange les dialogues avec les pensées des personnages. C'est drôle de voir la différence entre leurs paroles et leurs sentiments réels. Ça se termine comme le premier avec une grande fête chez Elizabeth qui tourne encore plus mal que le dernier. Finalement, pour ceux qui ont appréciés Vacances anglaises c'est à ne pas manquer (vaut mieux avoir lu le premier).
N'oublie pas mes petits souliers est la suite de Vacances anglaises, que j'avais beaucoup apprécié. On retrouve les mêmes personnages dans les semaines qui précèdent Noël... Non, personne n'a vraiment changé! Un véritable vaudeville qui m'a pourtant fait beaucoup moins rire que le premier tome. L'auteur tire un peu sur la ficelle, il y a finalement peu de rebondissements! C'est pourquoi je lui accorde seulement 3 étoiles et demie...
John doit faire face à la perte de sa somptueuse épouse Lulu, Brian et Dotty sont installés dans une caravane garée dans l'allée de leurs ex-voisins, Howard et Elisabeth apprennent à vivre dans le dénuement le plus absolu... ce qui n'empêche pas Dotty de vouloir s'approprier la petite Dawn, le bébé dont Melody sa mère ne s'occupe guère. J'ai retrouvé avec joie les personnages de Vacances anglaises... qu'il serait savoureux que ces livres soient transformés en films... Drôles, gais, rapides... On en veut encore. Je viens justement de visiter un site où l'on parle d'un film adapté par Michel Blanc, Embrassez qui vous voulez... à voir.