Je viens de terminer ce pavé de 1100 pages... Je vais vous dire, je n'ai vraiment pas trouvé ça extraordinaire....
Nous suivons les pérégrinations et les déconvenues amoureuses de cet homme, Anthony Adverse, à travers quasiment tous les continents, mais nous avons toujours l'impression d'être dans le premier chapitre du Père Goriot>de Balzac où il nous décrit toutes les moulures d'une habitation. L'aventure n'avance pas, franchement je crois que l'avoir coupé de moitié aurait été plus que suffisant...