Policier, 2004, Mankell, trad. 2014, 160 pages.
4è DE COUVERTURE :
C’est l’automne en Scanie avec son lot de pluie et de vent. Désabusé, Wallander aspire à une retraite paisible et rêve d’avoir une maison à la campagne et un chien. Il visite une ancienne ferme, s’enthousiasme pour les lieux, pense avoir trouvé son bonheur. Pourtant, lors d’une dernière déambulation dans le jardin à l’abandon, il trébuche sur ce qu’il croit être les débris d’un râteau. Ce sont en fait les os d’une main affleurant le sol. Les recherches aboutissent à une découverte encore plus macabre.
Au lieu d’une maison, Wallander récolte une enquête. Jusqu’où devra-t-il remonter le temps, et à quel prix, pour identifier cette main ?
Concis et vif, ce court roman est suivi d’une réflexion de l’auteur sur la genèse et l’évolution de sa série Wallander.
MES IMPRESSIONS :
Petit livre facile à lire. Le style est bon.
Wallander me fait un peu penser à mon Harry Bosch (Connely) qui habite à 10.000 km de lui !
Cette affaire est un très "cold case", et les témoins que trouve Wallander sont en maison de retraite.
Dans les vieux carnets de l'ancien propriétaire de la maison où ont été trouvés les deux cadavres, il est question d'une famille de réfugiés estoniens en 1944....
Première phrase :
"Ce samedi 26 octobre 2002 au soir, Kurt Wallander était au bout du rouleau. La semaine avait été éprouvante au commissariat d'Ystad en raison d'une épidémie de grippe."
Sans être transcendant, ce roman nous fait passer un bon moment.
3 étoiles et demi.
PS : tous les Suédois se tutoient depuis 1970 !
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